African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
Este documento trata del nacimiento y actuación de la REAF (Reunión Especializada de Agricultura Familiar) como órgano asesor de los órganos ejecutivos del Mercosur. El documento trata también del reconocimiento de la agricultura familiar como una categoría que requiere de políticas diferenciadas, instalado en el lenguaje a nivel del bloque y de los países que lo integran.
Los proyectos insignia definidos por el IICA en su Plan de Mediano Plazo 2014-2018, son el principal instrumento de su cooperación técnica y tienen alcance hemisférico, aunque buscan resultados concretos en las esferas regional, plurinacional y nacional. Uno de ellos es el de “Productividad y sustentabilidad de la agricultura familiar para la seguridad alimentaria y economía rural (PIAF)”, dentro del cual se inscribe esta propuesta metodológica de encuentros asociativos.
Rendir un informe anual del trabajo realizado por el IICA es más que un compromiso con la transparencia y la rendición de cuentas; constituye también un medio para reconocer los avances de nuestros Estados Miembros en beneficio de sus pueblos. Los logros que ellos alcanzan gracias a los aportes que les brinda el Instituto los hace mantener su confianza en una organización que de hecho les pertenece.
Este volante muestra las acciones para mejorar la capacidad de los países para mitigar y adaptarse al cambio climático y utilizar mejor los recursos naturales.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?