The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
The paper is one of a series of research papers that are designed to timely disseminate research and policy analytical outputs generated by the USAID funded Feed the Future Innovation Lab for Food Security Policy (FSP) and its Associate Awards. The FSP project is managed by the Food Security Group of the Department of Agricultural, Food, and Resource Economics at Michigan State University (MSU), and implemented in partnership with the International Food Policy Research Institute (IFPRI) and the University of Pretoria (UP).
From November 1, 2012 to June 30, 2015, Michigan State University subcontracted Washington State University together with the University of Rwanda (UR) in order to deliver a gender sensitive Masters of Science in Agribusiness program at UR. The project had three specific objectives, to strengthen the human and institutional capacity of UR in teaching and applied research in agricultural sciences; to promote and support women's access to graduate education in agricultural sciences; and to extend UR's knowledge about, and women's expertise in, agricultural sciences to the community.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
Les exigences du marché s’accentuent progressivement avec la mise en place de systèmes de normes et de certification destinés à garantir la santé du consommateur, le droit des travailleurs, et limiter les impacts négatifs sur l’environnement. La production d’ananas dans le nord du Costa Rica est plus particulièrement concernée par la loi américaine sur le bioterrorisme et les normes EUREPGAP issues du secteur privé européen.
Cet article analyse les conditions d’accès aux connaissances dans l’univers des politiques publiques agricoles et leurs conséquences en termes de verrouillage technologique sur des solutions techniques dépendantes de l’usage de pesticides. À partir de l’identification des réseaux d’action publique impliqués dans le développement de l’Agriculture de conservation (AC), il montre une situation d’inégalité entre acteurs pour l’accès aux ressources permettant de développer des techniques innovantes.
La production bananière de Guadeloupe a entrepris une conversion à l’environnement dans le cadre de son plan « banane durable 2008-2013 ». À l’aide d’un cadre théorique en sociologie de l’action publique, les auteures montrent un transfert partiel de la responsabilité de prise en charge des préoccupations environnementales des acteurs publics vers les acteurs privés, conduisant à des formes de privatisation de la gestion des externalités environnementales. La dimension environnementale est alors détournée par les acteurs privés afin de justifier des politiques publiques en leur faveur.