In this paper, results from a study on the use of improved coffee production technology schemes among smallholder coffee producers in three prominent coffee producing regions in Honduras are presented. The impact of various schemes (trajectories) in which different agents influence the producers’ decision to use new technologies was analyzed. In particular, there are differences in the influence of a) private coffee buying organizations and b) government and public development agencies on the innovation behavior of coffee growers.
Public-private partnerships are a new way of carrying out research and development (R&D) in Latin America's agricultural sector. These partnerships spur innovation for agricultural development and have various advantages over other institutional arrangements fostering R&D. This report summarizes the experiences of a research project that analyzed 125 public-private research partnerships (PPPs) in 12 Latin American countries. The analysis indicates that several types of partnerships have emerged in response to the various needs of the different partners.
This study examines the role of public–private partnerships in international agricultural research. It is intended to provide policymakers, researchers, and business decisionmakers with an understanding of how such partnerships operate, how they promote the exchange of knowledge and technology, and how they contribute to poverty reduction.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?
Source majeure d’alimentation pour une grande partie de l’humanité, les céréales étaient au coeur de la crise alimentaire en 2008. Elles sont de nouveau en première ligne. Aujourd’hui, les changements de modes de consommation des pays émergents, ainsi que la demande artificielle en agrocarburants, accentuent les problèmes liés à l’offre de céréales.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.