Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Le delta intérieur du Niger est une des régions de l’Afrique de l’Ouest les plus touchées par les attributions foncières à grande échelle : entre 400 000 et 770 000 hectares auraient ainsi été alloués sous la forme de concessions pouvant, dans certains cas, atteindre 100 000 hectares. Cet accaparement des terres a progressé à une vitesse record et renvoie à quantité de projets, disparates par le type des investisseurs impliqués et par les objectifs poursuivis.
The Challenge of Capacity Development: Working Towards Good Practice draws on four decades of documented experience provided by both bilateral and multilateral donors, as well as academic specialists, to help policy makers and practitioners think through effective approaches to capacity development and what challenges remain in the drive to boost country capacity. The analysis is underpinned by a conceptual framework which guides practitioners to view capacity development at three interrelated levels: individual, organisational and enabling environment levels.
This chapter outlines the role of a well-functioning agricultural innovation system in ensuring good use of public funds, and higher responsiveness to the needs of ‘innovation consumers’ through improved collaboration between public and private participants, including across national borders. A well-functioning agricultural innovation system is key to improving the economic, environmental and social performance of the food and agriculture sector.
This chapter analyses the functioning of the Brazilian agricultural innovation system. It discusses the role of the different actors and describes governance mechanisms to define priorities and evaluate performance. It analyses trends in agricultural R&D expenditure and sources of funding, the role of intellectual property protection in fostering knowledge markets, and outlines mechanisms used to facilitate knowledge transfers, including collaboration at the national level and the adoption of innovation at the farm or firm level.
Cette note d'information a été produite lors de la réunion des ministres de l'Agriculture de l'OCDE en 2016. Cette note se concentre sur le rôle des systèmes d'innovation agricole (SIA) par rapport à la performance de performances économiques, environnementales et sociales de l'agriculture.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.