The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
The food security research project (FSRP) aims to contribute to effective policy dialogue, capacity building, and ultimately an improved agricultural policy environment in Zambia, through collaboration with government and the private sector. It achieves these objectives through in-service capacity building, applied analysis, and policy outreach. A hallmark of the Michigan State University/FSRP approach is the “joint products” approach, whereby training, applied research and outreach are undertaken collaboratively with in-country stakeholders and government counterparts.
La nouvelle édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie.
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.