The objective of TAF’s projects was either to strengthen companies’ core operations by delivering consulting expertise to enable them to grow, and hence contribute to food security through increased production and food availability, or to facilitate the implementation of new business models that extend their reach to poor consumers, producers or employees through ‘inclusive business’ initiatives
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
This bcrochure describes the programme ""APRACA: Enhancing access of poor rural people to sustainable financial services through policy dialogue, capacity-building and knowledge-sharing in rural finance" that aimed to: enhanced the capacity of regional financial institutions in valuechain and renewableenergy financing, riskmanagement strategies, and microfinance for agriculture.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
This report is part of the AFRHINET project under the ACP-EU Cooperation Programme in Science and Technology (S&T II). The overall aims of the project are to enhance options for sustainable integration of rainwater harvesting for irrigation through understanding adoption constraints and developing networks for capacity building and technology transfer. The African partners are Addis Ababa University and WaterAid-Ethiopia in Ethiopia, University of Nairobi and ICRAF-Searnet in Kenya, Eduardo Mondlane University in Mozambique, and University of Zimbabwe and ICRISAT-Zimbabwe in Zimbabwe.
This study has been produced with the overall goal to document and analyse exisiting best practices in the field of RWHI management in sub-Saharan Africa, with a special focus on Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe. This is meant to determine the suitability of RWHI management under multivariate biophysical and socioeconomic conditions. The best practices include specific information and know-how on the performance, cost-efficiency and impacts of RWHI technologies.
These recommendations are a compilation of 2 regional studies at sub-Saharan Africa level which focused on research and technology transfer in the field of rainwater harvesting irrigatio nmanagement on one hand (section 3), and effective policy recommendations on the use of rainwater for off-season small-scale irrigation on the other (section 4). The regional studies upon which this transnational study is based come from the analysis of national studies in Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe.