On 15 November 2012, as part of the IFAD East and Southern Africa regional meeting in Addis Ababa, ILRI was asked to convene and facilitate a 1 hour session on ways that CGIAR and IFAD could collaborate. The session drew on contributions from different CGIAR centres; it involved speakers from ILRI, IWMI and ICARDA. It provided a very good, but short, opportunity to make connections between some CGIAR staff and IFAD and project staff; several individual follow up conversations were triggered.
The presentation (www.slideshare.net/ILRI/cgiar-and-ifad-sharing-and-scaling-up-innovations) reflected on current collaboration experiences between IFAD and the CGIAR, it introduced the ‘renewed’ research for development focus of the CGIAR and its multi-center Research Programs and it explored ideas for future collaboration.
- Lack of automated data capture systems affects timely feedback and accuracy of information for breeding decisions.
- CGIAR researchers and national research partners have adopted a digital genetic database, Dtreo, that is enhancing genetic improvement by providing timely and accurate animal ranking information to communities.
- Dtreo is a digital genetic database that is flexible and easy to use, that allows users to capture and save data offline. Data is uploaded to the database once an internet connection has been established.
Digital platform enhances genetic progress in community-based sheep and goat breeding programs in Ethiopia:
- Up-to-date information on estimated breeding values and animal rankings is directly channeled to breeder organizations and used for selection decisions.
- The digital platform motivated use of more complicated evaluation models which improve accuracy of breeding values considerably.
- When upscaled, this will help create a permanent multi-country source of information.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.