Les espaces ruraux périurbains des grandes villes d'Algérie vivent des transformations liées à trois facteurs combinés, parfois contradictoires : l'ouverture libérale, la redistribution de la rente pétrolière et l'évolution des espaces et des marchés urbains. Les exemples de la Mitidja centrale (entre Blida et Alger) et de l'Oranais en révèlent la diversité et les contrastes.
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Les relations entre, d’une part, la nature des droits et la disponibilité d’un titre de propriété, d’autre part, la stimulation du marché foncier, l’investissement ou la productivité des facteurs, restent objets de débats. Cette relation est explorée dans le cas de la politique foncière algérienne qui en 1983 ouvre la voie à la privatisation des terres du domaine privé de l’État. Cet article discute l’impact de cette politique en termes de marchandisation et d’usage productif de la terre, sur la base d’une enquête conduite dans la wilaya de Laghouat.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
L’exploitation agricole familiale des oasis occidentales du Sahara algérien évolue dans un contexte de difficultés lié au déclin des ressources en eau (amenée par les galeries des foggaras) au faible revenu tiré de l’agriculture et à la diversification des activités, au profit de celles non agricoles, plus rémunératrices. À ces facteurs s’ajoutent les effets d’une atomisation de la propriété agricole oasienne, due à l’indivision foncière en rapport avec l’accroissement démographique.
Este documento describe el cambio de paradigma realizado por INIFAP al sustituir los modelos lineales de transferencia de tecnología, por la gestión de la innovación, con resultados muy alentadores en áreas planas, serranas y con altos grados de marginación, curiosamente donde los niveles de más pobreza se observan.
El objetivo de esta propuesta es presentar el uso de técnicas estadísticas para analizar y evaluar el proceso de adopción de innovaciones tecnológicas. La metodología que se propone incluye escalas cualitativas para analizarse con técnicas multivariadas como prueba de normalidad multivariada, análisis por componentes principales, aglomerados y correlación canónica. El uso de estas herramientas estadísticas se ejemplificó con un estudio de adopción tecnológica realizada con productores de cebada
La presente investigación tuvo como objetivo reconocer los tipos de tecnologías y cómo influyen en la productividad del maíz en el municipio de estudio. En la recopilación de información se aplicó una encuesta a una muestra representativa de productores en 2009. Para analizar la información se clasifico a los productores de acuerdo a los niveles de uso de tecnología utilizando el índice de apropiación de tecnologías modernas (IATM) y el grado de empleo de tecnologías campesinas (GETC)
La presente investigación analiza la influencia de las relaciones sociales existentes al interior de un grupo de 22 productores de rambután (Nephelium lappaceum) del Soconusco, Chiapas en 2014. Se analizaron las acciones conjuntas relacionadas con la mejora de la comercialización de su producto. Se empleó la escala de construcción de vínculos relacionales para el trabajo colectivo integrada por los niveles de identificación, aportación, colaboración, cooperación y asociación.