In 2014-2016, Katalyst project and the Bangladesh Crop Protection Association (BCPA) extended their work by training farmers, women, retailers and pesticide spray men on the safe and judicious use of pesticides (SUP). This initiative improved the ability of farmers to select the right types of pesticide, and to use them appropriately with the correct dosage.
Katalyst project has been facilitating awareness raising on the importance of balanced fertiliser application in Bangladesh since 2006.
Often, farmers excessively use chemical pesticides with detrimental effects on environmental and human health.The ‘Commercialising Bio-Pesticides in Bangladesh’ mini case study explains how the Katalyst project and private sector partner Ispahani Agro Ltd. formulated a policy recommendation on the amendment of the 1985 Pesticide Act to make the proper registration and marketing of “Bio-Pesticides” possible, allowing companies to market and distribute IPM products to a mass audience.
Building on this potential, Katalyst’s Women’s Economic Empowement (WEE) sector designed an intervention to provide training in modern prawn cultivation techniques and input and create linkages between feed and aqua-chemical companies with women prawn farmers of the Jessore-Khulna Bagerhat Satkhira Narail belt. Through this intervention, 22,170 women farmers have improved access to quality inputs and relevant know-how.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
L’exploitation agricole familiale des oasis occidentales du Sahara algérien évolue dans un contexte de difficultés lié au déclin des ressources en eau (amenée par les galeries des foggaras) au faible revenu tiré de l’agriculture et à la diversification des activités, au profit de celles non agricoles, plus rémunératrices. À ces facteurs s’ajoutent les effets d’une atomisation de la propriété agricole oasienne, due à l’indivision foncière en rapport avec l’accroissement démographique.