L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.
Local banks, NGOs and public institutions worked closely to ensure that women could access loans, join associations and have their voices be heard in collective decision-making processes. It also allowed these women and their communities to make collective investments that would increase their production, stabilize and diversify their nutrition, and ultimately achieve a better life.
Learn about the Women’s Empowerment Farmer Business Schools (WE-FBS) implemented in Kenya through FAO’s Flexible Multi-Partner Mechanism (FMM). The approach prompts men and women to reflect critically on their roles, resources, and activities in farming, and to develop strategies that are needed to maximize their commercial potential.