The provision of basic market information is a service that aims to increase the efficiency of agricultural markets and contribute towards overcoming basic issues of market failure based on asymmetrical access to information. However, debate on the need for long-term support to a market information system (MIS) continues. A quantitative and qualitative survey was undertaken to provide a measure of accessibility, usefulness and utility of the current MIS, and to access how this type of service may be financed and improved in the future.
In times of market liberalization and structural adjustment, the agricultural sectors of developing countries face profound changes. To seize new market opportunities, farmers need to innovate. In order to innovate, farmers need new technologies and information on how to access and manage them, as well as better support services for the delivery of inputs and knowledge, and better infrastructure for delivering produce to the market.
There is increasing evidence that public organizations dedicated exclusively to research and development (R&D) in agribusiness need systematic management tools to incorporate the uncertainties and complexities of technological and nontechnological factors of external environments in its long-term strategic plans. The major issues are: What will be the agribusiness science and technology (S&T) needs be in the future? How to prepare in order to meet these needs?
L’objectif de cet article est de décrire et de comprendre les comportements à innover des coopératives agricoles. Il mobilise le cadre théorique de l’économie de l’innovation. Exploitant une enquête postale sur la région Midi-Pyrénées, la typologie des comportements à innover obtenue après analyse statistique permet d’identifier cinq classes d’entreprises coopératives. Du fait de leur importance à l’amont des filières et des territoires, les coopératives apparaissent comme des intermédiaires incontournables pour répercuter les contraintes de l’aval auprès des exploitants agricoles.
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.