L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
El documento hace un análisis reflexivo de las experiencias vividas por Cáritas San Marcos a partir de la influencia que los actores participantes en la Alianza de Aprendizaje han tenido en sus programas y proyectos, específicamente, dentro del área de desarrollo agroempresarial rural
Les systèmes alimentaires et agricoles actuels parviennent à fournir de grandes quantités d’aliments sur les marchés mondiaux. Cependant, les systèmes agricoles à forte intensité d’intrants externes et de ressources sont à l’origine d’une déforestation massive, de pénuries d’eau, d’une perte de biodiversité, d’un épuisement des sols et d’importantes émissions de gaz à effet de serre. En dépit des progrès significatifs accomplis récemment, la faim et l’extrême pauvreté demeurent des problèmes cruciaux au niveau mondial.
In the rapidly changing context of agri-food systems, extension and advisory services (EAS) are expected to provide new roles and services that go well beyond the traditional production-related technology transfer. Consequently, pluralistic EAS systems with diverse actors have emerged with diverse actors, including private and civil society organisations. These multiple EAS actors must adopt innovative entrepreneurship models if they are to act proactively and respond to the increasing diversity of farmers’ demands while staying independent and sustainable.
Prior to the COVID-19 pandemic, young entrepreneurs in agrifood systems in sub-Saharan Africa were already facing a number of challenges. The main challenges include limited access to natural resources, finance, technology, knowledge and information, and insufficient participation in policy dialogues and other decision-making processes. The COVID-19 pandemic and its disruptions to agricultural value chains are presenting additional hurdles for these agripreneurs.
The COVID-19 pandemic is a major economic shock, throwing into question the resilience of the agrifood sector at this stage, particularly in developing countries where self-employed, wage and informal workers are threatened by food supply chain disruptions, limitations on movement and trade restrictions. Even before the crisis, small and medium agribusinesses were often considered to be credit-constrained and extremely vulnerable to shocks.
Policy briefs are an effective tool to communicate policy messages using evidence. Thus, the Department of Agriculture Extension and Cooperatives (DAEC) and the Department of Planning and Cooperation (DOPC) of the Ministry of Agriculture and Forestry (MAF) in Lao PDR organized a multi-stakeholder policy dialogue process with support from FAO’s TAP-AIS project to spur discussion and gather evidence for this policy brief. Stakeholders involved in the policy dialogue process included representatives from the private sector, farmers organizations, academia, NGOs and the government.
In order to realize the potential of agricultural innovation in family farming, national priorities of sustainably increasing food production and productivity, and reducing hunger and poverty, require rural knowledge institutions to be stronger and communication processes to be improved. This brief synthesizes the focus of FAO’s research and extension branch on transforming agricultural innovation systems of member countries.