This book documents a unique series of 19 case studies where agricultural biotechnologies were used to serve the needs of smallholders in developing countries. They cover different regions, production systems, species and underlying socio-economic conditions in the crop (seven case studies), livestock (seven) and aquaculture/fisheries (five) sectors. Most of the case studies involve a single crop, livestock or fish species and a single biotechnology.
En esta sección se retrata como se hace y vive la agroecología en un contexto campesino rural. Desde una comunidad en las Lomas del Escambray (prov. Villa Clara) se intenta transmitir el corazón y la energía de la agroecología en Cuba, a la vez que mostrar el funcionamiento del MACAC, las prácticas cotidianas y las reflexiones de los/as protagonistas.
Cette partie a pour objectif de retracer l’histoire de la création de l’agroécologie et de comprendre les conditions qui lui permettent d’exister dans un contexte paysan rural. Depuis ces mêmes fermes, les protagonistes essayent de transmettre le sentiment et le cœur de l’agroécologie tout en laissant voir le fonctionnement du MACAC, les pratiques quotidiennes et les réflexions de chaque protagoniste.
This section intends to picture how is agroecology done and lived in a rural peasant context. From their own plantations they try to carry over the feeling and heart of agroecology, while showing the operation of PTPAM at the same time, the everyday practices and the thoughts of their main players.
Social learning processes can be the basis of a method of agricultural innovation that involves expert and empirical knowledge. In this sense, the objective of this study was to determine the effectiveness and sustainability of an innovation process, understood as social learning, in a group of small farmers in the southern highlands of Peru. Innovative proposals and its permanence three years after the process finished were evaluated. It was observed that innovation processes generated are maintained over time; however, new innovations are not subsequently generated.
The private sector’s presence in agricultural advisory services worldwide has been on the increase for over three decades. This trend has also been observed in the Mantaro Valley (Peru), in a context of dairy family farming. The objective of the communication is to analyse the modalities of advisory services privatization and assess the consequences of this privatization for the farmers and their livestock systems. Data were collected through input suppliers, different types of advisers and producers interviews.
This report provides a synthesis of all findings and information generated through a “stocktaking” process that involved a desk study of Prolinnova documents and evaluation reports, a questionnaire to 40 staff members of international organizations in agricultural research and development (ARD), self-assessment by the Country Platforms (CPs) and backstopping visits to five CPs. In 2014, the Prolinnova network saw a need to re-strategise in a changing context, and started this process by reviewing the activities it had undertaken and assessing its own functioning.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
En 1995, SOS Faim entamait une première collaboration avec la coopérative La Florida dans la ‘Selva Central’, forêt semi-tropicale du centre du Pérou. Cette coopérative de petits producteurs de café sortait d’une grave crise suite à la présence importante du mouvement Sentier Lumineux dans la région : plusieurs dirigeants avaient été assassinés et les infrastructures détruites. En phase de redynamisation, elle recherchait une garantie pour obtenir un crédit auprès d’une banque locale pour collecter la production de ses membres et la commercialiser de manière groupée.