African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
This book represents the proceedings of the FAO international technical conference dedicated to Agricultural Biotechnologies in Developing Countries (ABDC-10) that took place in Guadalajara, Mexico on 1-4 March 2010. A major objective of the conference was to take stock of the application of biotechnologies across the different food and agricultural sectors in developing countries, in order to learn from the past and to identify options for the future to face the challenges of food insecurity, climate change and natural resource degradation.
PAEPARD supports/facilitates three aflatoxin-related research consortia: (a) Stemming aflatoxin pre- and post-harvest waste in the groundnut value chain in Malawi and Zambia; (b) Developing strategies to reduce fungal toxins contamination for improved food sufficiency, nutrition and incomes along the maize value chain in the arid and semi-arid lands of Eastern Kenya; and (c) Developing feed management protocols for dairy farmers in high rainfall areas in Kenya.
This document sets out how EU Research and Innovation (R&I) policy contributes to the major global challenge of ensuring food and nutrition security (FNS). It is a first step in the further development of a more coherent approach to European R&I which aims at mobilising resources and stakeholders to set out aligned R&I agendas in response to recent international political drivers such as the Sustainable Development Goals and the COP 21 climate commitments.
In this book, the authors assessed the role of biotechnology innovation for sustainable development in emerging and developing economies. This book compiles studies that each illustrate the potential, demonstrated value and challenges of biotechnology applications for sustainable agricultural innovation and/or industrial development in a national, regional and international context.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
PAEPARD appuie et assiste trois consortiums de recherche liés à l’aflatoxine dans leur travail destiné à : (a) éradiquer les déchets de l’aflatoxine avant et après les récoltes dans la filière arachide au Malawi et en Zambie ; (b) développer des stratégies visant à réduire la contamination par des toxines fongiques pour améliorer l’approvisionnement alimentaire, la nutrition et les revenus le long de la filière maïs dans les zones arides et semi-arides de l’est du Kenya ; et (c) développer des protocoles de gestion des aliments du bétail pour les producteurs laitiers dans les zones à forte
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
"Ici, ailleurs... la terre qui nous nourrit" suit l’itinéraire de Gavin, jeune maraîcher bio anglais qui travaille dans une ferme du sud de l’Angleterre. Confronté à la perte de ses terres agricoles, il prend conscience de la difficulté de trouver des terres pour développer des projets d’agriculture de proximité comme le sien. Il part alors à la rencontre d’autres fermiers européens qui ont eux aussi bataillé pour trouver des terres et les conserver dans la durée.