This Guide to Evaluating Rural Extension has been developed by the Global Forum for Rural Advisory Services (GFRAS). The purpose is to support those involved in extension evaluation to choose how to conduct more comprehensive, rigorous, credible and useful evaluations. The Guide supports readers to understand different types of evaluation, to make decisions on what is most appropriate for their circumstances, and to access further sources of theoretical and practical information.
While much has been written about the importance of mainstreaming gender in agricultural value chains (and the challenges inherent in doing so), relatively few studies have provided details on cases in which gender integration 1 has been successful. This study, therefore, presents a collection of experiences in which rural advisory services (RAS) were able to successfully mainstream gender into agricultural value chains, categorised in terms of “best-fit practices”.
For agricultural extension and advisory services (AEAS), social media presents a huge scope not just to communicate to the farmers better and with efficiency, but also to act as innovation brokers in Agricultural Innovation Systems (AIS). And not just for the organizations, social media has made it easier for farmers to communicate with extension professionals, experts and peers in real time. And with this increased potential to share views and ideas and easy access to information, discretion becomes important for organizations to maintain professionalism in a new social world.
The Worldwide Extension Study provides empirical data on the human and financial resources of agricultural extension and advisory systems worldwide, as well as other important information on: the primary extension service providers in each country (e.g.: public, private and/or non-governmental); which types and groups of farmers are the primary target groups (e.g.: large, medium, and/or small-scale farmers, including rural women) for each extension organization; how each organization’s resources are allocated to key extension and advisory service functions; each organization’s information a
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?