Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Over the years, CTA has contributed to building ACP capacity to understand innovation processes, strengthen the agricultural innovation system and embed innovation thinking in agricultural and rural development strategies. The CTA Top 20 Innovations project set out to prove that innovation is taking place in ACP agriculture and in the process has demonstrated that smallholder farmers are beneficiaries as well as partners in agricultural innovation.
Este articulo tiene como objetivo evaluar el entorno para la innovación en el estado de Zacatecas, para alcanzar este logro el estudio buscó recolectar la información secundaria necesaria para la identiciación de las cadenas productivas relevantes en el estado de Zacatecas. Así como caracterizar las cadenas prioritarias en su importancia socioeconómica y productiva, con el objeto de jerarquizarlas y también comparar la infomación obtenida para el año 2009 con la publicada en el 2004.
Este libro en cada uno de sus capítulos presenta un caso exitoso de tecnología generada y transferida por el INIFAP en el Norte Centro del país, resultado de proyectos que han transitado por diferentes estrategias de transferencia de tecnología.
Este Libro describe experiencias de extensión y investigación participativa en México. Describe la origen, fundamentos teóricos, objetivos, caracteristicas y acciones básicas, alcances y limitaciones así como la importancia de la investigación participativa en los procesos y modelos de desarrollo. Trae una propuesta metodológica y experiencias obtenidas en cuatro estados mexicanos.
Este documento describe la experiencia del establecimiento de Módulos Demostrativos Forrajeros (MDF) con productores de diferentes Asociaciones Ganaderas Locales del estado (AGL); el propósito fue establecer especies forrajeras e innovaciones tecnológicas para la siembra, manejo, conservación y su utilización en la alimentación animal, que sirvieran de espacios demostrativos para los productores ganaderos, extensionistas, estudiantes y funcionarios del sector.