This learning module on Applying innovation system concept in agricultural research for development has been prepared to serve as a tool in achieving the objective of strengthening the capacity of project staff and other researchers and actors who are believed to have a key role to play in ushering in market-led agricultural transformation. This includes national, regional, international and private sector agricultural researchers, university lecturers, and others engaged in biophysical as well as social science research.
The article provides a conceptual framework and discusses research methods for analyzing pluralistic agricultural advisory services. The framework can also assist policy-makers in identifying reform options. It addresses the following question: Which forms of providing and financing agricultural advisory services work best in which situation? The framework ‘disentangles’ agricultural advisory services by distinguishing between (1) governance structures, (2) capacity, (3) management, and (4) advisory methods.
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.
La production et le commerce du lait sont révélateurs des enjeux de la lutte contre la pauvreté. La volatilité des prix du lait sur les marchés internationaux constituerait l’une des principales entraves au développement de filières laitières dans les pays du Sud. Cette année, la production de lait des pays pauvres représentera pourtant 48% de la production laitière mondiale; mais les produits laitiers importés du Nord mettent en difficulté les producteurs locaux.
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?
L’agriculture paysanne, valorisée dans le rapport remis par les experts de l’IAASTD, participe au développement durable. Forte utilisatrice de main d’œuvre, caractérisée par une utilisation raisonnée des intrants sur des cultures extensives, elle participe également au maintien du tissu social rural. L’agriculture paysanne est en général familiale. Les membres de la famille sont soucieux de préserver l’exploitation pour les générations futures.