Adapting through innovation is one way for rural communities to sustain and improve their livelihoods and environments. Since the 1980s research and development organizations have developed participatory approaches to foster rural innovation. This paper develops a model, called the Learning-to-Innovate (LTI) model, of four basic processes linked to decision making and learning which regulate rate and quality of innovation. The processes are: creating awareness of new opportunities; deciding to adopt; adapting and changing practice; and learning and selecting.
An innovation platform is a space for learning and change. It is a group of individuals (who often represent organizations) with different backgrounds and interests: farmers, traders, food processors, researchers, government officials etc. The members come together to diagnose problems, identify opportunities and find ways to achieve their goals. They may design and implement activities as a platform, or coordinate activities by individual members. This brief explains what innovation platforms are and how they work, and it describes some of their advantages and limitations.
Innovation platforms can be complex and challenging so effective monitoring is critical to ensure that they function effectively and achieve their intended purposes. A monitoring system is a collection of methods and tools to track and measure innovation activities, processes among partners, and the results of these processes. This brief describes what a monitoring system does, who is involved, how it works, and what to do with the findings. It is available in Chinese, English, Hindi, Thai and Vietnamese.
One of the most important things that innovation platforms do is to build the capacity of their members to innovate. Some key elements of innovation capacity include: self-organization, learning new skills, changing mindsets, valuing others’ roles in innovation, having a holistic view, being able to adapt to changing situations, creating new ideas, recognizing opportunities, being proactive, using indigenous ideas, and looking to the future. This brief uses the analogy of a traditional African cooking pot to explain how innovation capacity is developed within an innovation platform.
This guide is the second in a series of documents designed to support agencies implementing participatory agroenterprise development program operating within defined geographical areas.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
Les politiques d'innovation dans les filières agricoles en Côte d'Ivoire depuis 2011 reposent sur la création d'un dispositif de transferts technologiques qualifié de "Plateformes d'Innovation", pour introduire des plants de variétés et d'hybrides améliorés. Cet article s'intéresse particulièrement aux conséquences des "Plateformes d'Innovation Banane Plantain" (PIP) dans la réorientation des choix technologiques locaux. Il interroge leurs résultats sur l'amélioration de l'indépendance alimentaire.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.