La co-conception de systèmes agricoles innovants est une piste prometteuse pour répondre au défi de l’innovation, notamment pour les exploitations agricoles familiales africaines confrontées à de multiples changements. Mais il faut penser à la place et aux rôles tenus par de multiples acteurs (agriculteurs, conseillers, chercheurs) pour produire les changements souhaités par toutes les parties, et donc réfléchir à la question du partenariat dans le processus.
La rencontre des chercheurs qui s’interrogent sur l’efficacité de leurs interventions pour accompagner les acteurs dans les processus de changement constitue une occasion pour s’interroger sur les méthodes de recherche à développer lors de travaux réalisés avec les acteurs : recherche participative, « recherche-action », recherche intervention... L’auteur propose de présenter la démarche de recherche-action comme nouvelle.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
L’agronomie s’interroge sur la façon de co-développer de nouvelles propositions techniques et organisationnelles pour améliorer la production et le niveau de vie des populations. La Recherche-Action en Partenariat (RAP) est une démarche de recherche qui associe les acteurs locaux à la construction d’innovations. Le caractère imprévisible des stratégies des acteurs et la nécessité d’atteindre les objectifs de la RAP incitent les chercheurs à mettre en place des dispositifs adaptés à la situation locale.
En étudiant les apprentissages produits par la mise en place des contrats territoriaux d’exploitation (CTE) puis des contrats d’agriculture durable (CAD) à l’île de la Réunion, nous montrons de quelle manière ces outils ont impulsé les prémices d’une agriculture durable dont nous pensons que les apprentissages sont une composante essentielle. Notre travail s’appuie sur des entretiens avec les acteurs du développement rural, techniciens des organisations de développement notamment.
The purpose of this report is to provide some of the groundwork in answering the question of how the CGIAR system and other public agricultural research organisations should adapt and respond to an era of transformation framed by the SDGs. It does this by exploring the way in which this transformation agenda reframes agricultural research and innovation.
Este documento hace una reflexión a respecto de los sistemas de innovación agrícola y trae conceptos del tema
Las Plataformas de Innovación para implementar una Agricultura Sostenible Adaptada al Clima (PIASAC) para los pequeños agricultores fue un proyecto que tenía como objetivo generar conocimientos y capacidades locales sobre cambio climático y construir opciones de adaptación de manera participativa. El proyecto se llevó a cabo en el municipio de Gracias, ubicado en el Corredor Seco de Honduras.
Tomando el caso de la agricultura holandesa como ejemplo, en este documento se hace un análisis del surgimiento y el papel de los gestores sistémicos de innovación en el estímulo de la interacción al interior del sistema de innovación agrícola y el desarrollo de la capacidad de innovación, además de reflexionar sobre su posible función en la agricultura de los países en vías de desarrollo y emergentes así como en la forma en que se puede promover su surgimiento y operación.
The Applied Research and Innovation Systems in Agriculture project (ARISA) started in December 2014 with the aim of increasing net farm income for 10,000 smallholder farming households in eastern Indonesia. The project was designed to address a key challenge in agricultural research for development: how to ensure that proven research outputs1 are available and accessible for use in farming communities.