Adapting through innovation is one way for rural communities to sustain and improve their livelihoods and environments. Since the 1980s research and development organizations have developed participatory approaches to foster rural innovation. This paper develops a model, called the Learning-to-Innovate (LTI) model, of four basic processes linked to decision making and learning which regulate rate and quality of innovation. The processes are: creating awareness of new opportunities; deciding to adopt; adapting and changing practice; and learning and selecting.
An innovation platform is a space for learning and change. It is a group of individuals (who often represent organizations) with different backgrounds and interests: farmers, traders, food processors, researchers, government officials etc. The members come together to diagnose problems, identify opportunities and find ways to achieve their goals. They may design and implement activities as a platform, or coordinate activities by individual members. This brief explains what innovation platforms are and how they work, and it describes some of their advantages and limitations.
One of the most important things that innovation platforms do is to build the capacity of their members to innovate. Some key elements of innovation capacity include: self-organization, learning new skills, changing mindsets, valuing others’ roles in innovation, having a holistic view, being able to adapt to changing situations, creating new ideas, recognizing opportunities, being proactive, using indigenous ideas, and looking to the future. This brief uses the analogy of a traditional African cooking pot to explain how innovation capacity is developed within an innovation platform.
This guide is the second in a series of documents designed to support agencies implementing participatory agroenterprise development program operating within defined geographical areas.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Global climate change and food security are complex and closely intertwined challenges. A key requirement for dealing with them successfully is that agriculture becomes more eco-efficient. As researchers work toward this goal, they must always ask, “Efficiency for whom?” Finding answers to this question requires that research be conducted from a systems perspective in a broadly participatory manner involving complex collaborative arrangements.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.