This review aims to introduce the institutional and policy oriented literature on technological innovation into the context of post harvest engineering. The focus is how rigorous quality and food safety standards in cross-border agricultural and horticultural trade influence technological change up stream in the agri-food chain. The review presents a selection of literature that considers technological innovation as a process, with a specific focus on the enabling and constraining institutional conditions found in developing countries.
Various researchers and policy analysts have made empirical studies of innovation systems in order to understand their current structure and trace their dynamics. However, policy makers often experience difficulties in extracting practical guidelines from studies of this kind. In this paper, we operationalize our previous work on a functional approach to analyzing innovation system dynamics into a practical scheme of analysis for policy makers. The scheme is based on previous literature and our own experience in developing and applying functional thinking.
This article describes one of the local innovations identified by the Northern Typical Highlands (NTH) platform of Prolinnova-Ethiopia: an intricate system of harvesting water from waterlogged land to allow cultivation in the long wet season, coupled with storage of this harvested water to use for supplementary irrigation in the following dry season.
Innovation system approach offers an holistic, multidisciplinary and comprehensive framework for analyzing innovation process, the roles of science and technology actors and their interactions, emphazing on wider stakeholder participation, linkages and institutional context of innovation and processes. This paper was aimed to: 1. review the concept of innovation system; 2. appraise the application to agriculture and its relevance and 3. analyze the policy implications for agricultural extension delivery in Nigeria.
En Afrique, 45% du territoire est situé dans des régions où l’agriculture pluviale est fragilisée par les sécheresses récurrentes. Au Burkina Faso, la dégradation des sols peut être limitée grâce à la technique du Zaï, technique manuelle traditionnelle très exigeante en main d’œuvre (300h/ha). La mécanisation de l'opération permet de passer à 40h/ha. L’amélioration de la technique touche aujourd’hui plusieurs centaines de fermes et d’artisans dans une vingtaine de villages du nord du Burkina Faso.
Ce document offre un cadre de réflexion sur le renforcement des capacités, établi à partir des principaux enseignements tirés de l’expérience, qu’elle soit positive ou négative.
Le présent texte analyse la trajectoire du mouvement alternatif ou écologique dans l’agriculture, en prenant comme référence des données et des informations provenant d’études réalisées au Brésil. Cette analyse privilégie les aspects liés à l’origine, à l’expansion et à l’institutionnalisation de l’agriculture écologique.
La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.
En étudiant les apprentissages produits par la mise en place des contrats territoriaux d’exploitation (CTE) puis des contrats d’agriculture durable (CAD) à l’île de la Réunion, nous montrons de quelle manière ces outils ont impulsé les prémices d’une agriculture durable dont nous pensons que les apprentissages sont une composante essentielle. Notre travail s’appuie sur des entretiens avec les acteurs du développement rural, techniciens des organisations de développement notamment.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.