This report covers the Feed the Future Asia Innovative Farmers Activity for the 2015-16 fiscal year (September 18, 2015-September 30, 2016).
This paper examines how the different institutional innovations arising from various permutations of linkages and interactions of ARD organizations (national, international advanced agricultural research centres and universities) influenced the different outcomes in addressing identified ARD problems.
Multi-stakeholder platforms (MSPs) are seen as a promising vehicle to achieve agricultural development impacts. By increasing collaboration, exchange of knowledge and influence mediation among farmers, researchers and other stakeholders, MSPs supposedly enhance their ‘capacity to innovate’ and contribute to the ‘scaling of innovations’. The objective of this paper is to explore the capacity to innovate and scaling potential of three MSPs in Burundi, Rwanda and the South Kivu province located in the eastern part of Democratic Republic of Congo (DRC).
The Feed the Future Asia Innovative Farmers Activity (AIFA) is a regional project working to facilitate the scaling of critical agricultural technologies through regional partnership and technology transfer. The project works with a range of agricultural technology stakeholders on a regional basis (private sector, research institutions, governments, networks, etc.) to increase food security, reduce poverty, and improve environmental sustainability by facilitating agricultural innovation and technology diffusion in the Asia region.
Cold Chain Bangladesh Alliance (CCBA) was a Global Development Alliance (GDA), USAID’s model for public-private partnerships. It served as a pilot project aiming to establish Bangladesh first integrated cold chain to reduce postharvest losses and deliver high-value agricultural products to market.
The Feed the Future Asia Innovative Farmers Activity (AIFA) is a regional project working to facilitate the scaling of critical agricultural technologies through regional partnership and technology transfer. The project works with a range of agricultural technology stakeholders on a regional basis (private sector, research institutions, governments, networks, etc.) to increase food security, reduce poverty, and improve environmental sustainability by facilitating agricultural innovation and technology diffusion in the Asia region.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Nous étudions le processus de transfert politique selon lequel les idées et valeurs du développement durable, mûries et véhiculées au niveau international, donnent lieu au niveau national à une recomposition des modes publics d’intervention en milieu rural. Au Mali et à Madagascar, les politiques de développement durable recouvrent des expressions différentes. Nous interprétons ces différences par une analyse comparative des stratégies des acteurs intervenant dans le jeu politique. Nous montrons que ces stratégies renvoient à des processus historiques.
Les exigences du marché s’accentuent progressivement avec la mise en place de systèmes de normes et de certification destinés à garantir la santé du consommateur, le droit des travailleurs, et limiter les impacts négatifs sur l’environnement. La production d’ananas dans le nord du Costa Rica est plus particulièrement concernée par la loi américaine sur le bioterrorisme et les normes EUREPGAP issues du secteur privé européen.
Cet article analyse les conditions d’accès aux connaissances dans l’univers des politiques publiques agricoles et leurs conséquences en termes de verrouillage technologique sur des solutions techniques dépendantes de l’usage de pesticides. À partir de l’identification des réseaux d’action publique impliqués dans le développement de l’Agriculture de conservation (AC), il montre une situation d’inégalité entre acteurs pour l’accès aux ressources permettant de développer des techniques innovantes.