Intersectoral partnerships mirror the changing nature of the relationships among state, business and civil society organizations, and are often considered innovative mechanisms to overcome single actor failure in the context of globalization. This article analyzes the capacity of partnerships to promote sustainable change in global agrifood chains from a governance and a development perspective. The global coffee, cotton, and cocoa chains serve as main fields of application.
The purpose of the paper, using a comprehensive innovation systems failure framework, is to assess the performance of agrifood innovation systems of Scotland and the Netherlands, through analysis of the key innovation actors (organisations, networks or influential individuals), and their key functions (research provider, intermediary etc), and those mechanisms that either facilitate or hinder the operation of the IS (known as inducing and blocking mechanisms, respectively).
The paper describes the existing mechanisms of innovation diffusion particularly focusing on the initial phase to introduce the results of innovative projects into the government system of Uzbekistan. The paper aims to analyze the existing bureaucratic, legal and political matrix for the introduction of ZEF project innovations into practice. The innovations developed by the staff of the ZEF/UNESCO project in Uzbekistan range from their content and purpose of use from technological to institutional ones. The innovations considered in this paper are mainly technological ones.
This paper addresses questions over the function and institutional arrangements of climate finance from an innovation systems perspective. It examines the barriers that prevent developing countries from transitioning to low-carbon and climate-resilient economies, and the interventions necessary to overcome those barriers. It finds that the barriers to innovation and economic change are much more pervasive than a lack of incentives.
L’agriculture est aujourd’hui interpellée par la société, qui exige bien plus qu’une simple production alimentaire : aliments de qualité, services environnementaux, insertion de populations marginalisées, revitalisation des territoires ruraux, habitabilité des milieux urbains, développement de productions énergétiques… Cette ouverture des futurs agricoles incite les acteurs ruraux à expérimenter de nouveaux systèmes de production et valorisation, faisant ainsi preuve de créativité et d’obstination pour exister face aux modèles de développement dominants.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Les conséquences sur les territoires des changements climatiques d’origine anthropique sont variables dans leurs expressions comme dans leurs effets, et les territoires sont inégaux face à ces variations climatiques en termes d’exposition aux effets (fonction de facteurs physiques, sociaux, économiques, culturels, politiques, etc.) comme en termes de capacité de réponse (capacité d’appréhension, d’anticipation, de réparation, etc.).
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.