Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
In comparison with the other EU (27) countries Innovation capacity indicators in Latvia remain low and considerably underperform. Problems and solutions are illustrated to represent innovation capacity in Latvia. The article consists of the following parts: first - theoretical aspects are selected to describe the essential definition of the analyzed subject. In the second part, experience from abroad is described, at the end – Latvian innovation policy and situation is analyzed and suggestions for further needs are formulated.
World Bank Institute (WBI) works to improve the understanding, practice and results of capacity development, an important way to support development goals and priorities for aid effectiveness. WBI developed the Capacity Development and Results Framework (CDRF), as a strategic and country-led approach to capacity development that emphasizes the empowerment of local agents through learning, knowledge and innovation.
Early applications of the innovation systems framework to developing-country agriculture suggest opportunities for more intensive and extensive analysis. There is ample scope for empirical studies to make greater use of the theoretical content available in the literature, and to employ more diverse methodologies, both qualitative and quantitative. Further, there is room to improve the relevance of empirical studies to the analysis of public policies that support science, technology, and innovation, as well as to policies that promote poverty reduction and economic growth.
Intersectoral partnerships mirror the changing nature of the relationships among state, business and civil society organizations, and are often considered innovative mechanisms to overcome single actor failure in the context of globalization. This article analyzes the capacity of partnerships to promote sustainable change in global agrifood chains from a governance and a development perspective. The global coffee, cotton, and cocoa chains serve as main fields of application.
This study, conducted by the World Bank at the request of the Government, is motivated by the need to understand Malaysia’s progress in facilitating the shift to a knowledge-focused economy.
Paper presented to the European Initiative for Agricultural Research and Development (EIARD), 12 January 2015.