This article addresses the impact of Integrated Agricultural Research for Development (IAR4D) on food security among smallholder farmers in three countries of southern Africa (Zimbabwe, Mozambique and Malawi). Southern Africa has suffered continued hunger despite a myriad of technological interventions that have been introduced in agriculture to address issues of food security, as well as poverty alleviation.
The failure of the linear and non-participatory Agricultural Research and Development approaches to increase food security among smallholder farmers in sub-Saharan Africa has prompted researchers to introduce an Integrated Agricultural Research for Development (IAR4D) concept. The IAR4D concept uses Innovation Platforms (IPs) to embed agricultural research and development organizations in a network to undertake multidisciplinary and participatory research.
This paper sets out to determine the impact of Integrated Agricultural Research for Development in three selected countries of Southern Africa. Agricultural productivity in Southern Africa faces several challenges, of which poor soil fertility strikes out as the priority problem inhibiting increased productivity in farmers’ fields. While several soil fertility management technologies are being promoted in the region, their uptake by smallholder farmers remains very low.
Une grande majorité des polyculteurs éleveurs de l’ouest du Burkina Faso ont un projet d’élevage familial (PEF) en tête. Cependant, plus de la moitié des projets ne démarrent même pas. Parmi ceux mis en place, d’importantes faiblesses sont observées au niveau de la gestion de l’alimentation du bétail, ce qui compromet leur rentabilité économique. Cet article présente une démarche de conception et d’accompagnement de projet d’élevage familial (Capef) conduit en partenariat entre le producteur et un conseiller.
La co-conception de systèmes agricoles innovants est une piste prometteuse pour répondre au défi de l’innovation, notamment pour les exploitations agricoles familiales africaines confrontées à de multiples changements. Mais il faut penser à la place et aux rôles tenus par de multiples acteurs (agriculteurs, conseillers, chercheurs) pour produire les changements souhaités par toutes les parties, et donc réfléchir à la question du partenariat dans le processus.
Confrontés aux évolutions des enjeux et modèles de développement touchant les secteurs de l’agriculture et de l’alimentation, les organismes de recherche interrogent les méthodes d’évaluation des impacts liées aux activités de recherche. En effet les cadres méthodologiques conventionnels utilisés depuis les années 1950 ne répondent plus aux attentes sociétales et aux réalités de l’activité de recherche dans ce domaine.