National governments, especially in sub-Saharan Africa, have limited budgets and are forced to make difficult funding decisions regarding the provision of social services and the support of agricultural programs. These provisions can play a critical role in rural incomes and agricultural production but due to data constraints, the effects of different types of social services on agricultural productivity in this region have not been analyzed in detail.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
L’agriculture paysanne, valorisée dans le rapport remis par les experts de l’IAASTD, participe au développement durable. Forte utilisatrice de main d’œuvre, caractérisée par une utilisation raisonnée des intrants sur des cultures extensives, elle participe également au maintien du tissu social rural. L’agriculture paysanne est en général familiale. Les membres de la famille sont soucieux de préserver l’exploitation pour les générations futures.
Biotechnology offers great potential to contribute to sustainable agricultural growth, food security and poverty alleviation in developing countries. Yet there are economic and institutional constraints at national and international levels that inhibit the poor people's access to appropriate biotechnological innovations.
This publication is based on invited papers presented at the conference "Agricultural Biotechnology in Developing Countries: Towards Optimizing the Benefits for the Poor", held in November 1999 at the Center for Development Research (ZEF), University of Bonn. The conference was convened in collaboration with the International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), Hoechst Schering AgrEvo GmbH (now Aventis CropScience) and the German Foundation for International Development (Deutsche Stiftung fUr internationale Entwicldung - DSE).
Structural transformation of agriculture typically involves a gradual increase of mean farm sizes and a reallocation of labor from agriculture to other sectors. Such structural transformation is often fostered through innovations in agriculture and newly emerging opportunities in manufacturing and services. Here, we use panel data from farm households in Indonesia to test and support the hypothesis that the recent oil palm boom contributes to structural transformation. Oil palm is capital-intensive but requires much less labor per hectare than traditional crops.
Recent research has analyzed whether higher levels of farm production diversity contribute to improved diets in smallholder farm households. We add to this literature by using and comparing different indicators, thus helping to better understand some of the underlying linkages. The analysis builds on data from Indonesia, Kenya, and Uganda. On the consumption side, we used 7-day food recall data to calculate various dietary indicators, such as dietary diversity scores, consumed quantities of fruits and vegetables, calories and micronutrients, and measures of nutritional adequacy.
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.