Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
Dans cet article, à travers l’étude du cas de la filière forêt-bois-papier aquitaine, nous soulignons la nécessité d’intégrer une plus forte prise en compte des ressources naturelles dans les analyses en termes de systèmes d’innovation. Prenant appui sur la principale spécificité de cette filière, à savoir sa forte dépendance à la ressource ligneuse, le présent article est focalisé sur la manière dont cette dépendance configure le système.
En Afrique, le droit sur le sol doit d’abord permettre l’accès à celui-ci. Pour l’agriculteur familial, ce droit est généralement celui des coutumes, que des procédures innovantes permettent de sécuriser. Les investisseurs préfèrent les titres de propriété ou les attributions du sol par l’État. Le droit foncier peut aussi être mobilisé pour garantir des crédits. Mais des contraintes limitent ce droit, résultant de l’existence de ressources naturelles renouvelables (ou non) dont l’exploitation concurrence celle de l’agriculture.
Les investissements dans les agrocarburants en Afrique constituent une véritable question de développement. Ils sont pleinement concernés par le débat sur les acquisitions de terres à grande échelle et exposent les populations et les agricultures africaines à plusieurs types de risques. Dans le même temps, ils représentent une opportunité dans des pays où l’accès à l’énergie est sans doute un des principaux facteurs de blocage au développement. Certaines formes d’investissement peuvent être encouragées, à condition qu’elles profitent aux économies locales.
El documento que presentamos fue pensado para que los técnicos, asesores, formadores, gestores, capacitadores, coordinadores o líderes, tanto de organizaciones rurales y asociaciones de productores, como de agencias de desarrollo –gubernamentales o de la sociedad civil― cuenten con un instrumento de apoyo para desarrollar unidades pequeñas de producción y de servicios rurales en una región parcular.
El presente documento es elaborado en el marco del diseño de una Agenda de Extensión Rural Latinoamericana que contribuya a un desarrollo inclusivo. En esta etapa la Red Latinoamericana y del Caribe para Servicios de Extensión Rural, constituida en Noviembre del 2010, ha priorizado el trabajo en 4 temas relevantes siendo “La Extensión como parte de un sistema de innovación”, uno de ellos.
El presente documento tiene por finalidad sistematizar y difundir las actividades realizadas en el municipio Yacapaní del departamento Santa Cruz en Bolivia, en el marco del Plan Nacional de CpD para Bolivia del proyecto ICDS Bolivia (MDRyT-INIAF-FAO). Esta fue la primera área piloto en la que la ICDS Bolivia inició sus actividades en el nivel local, las cuales se llevaron a cabo en tres etapas. La primera fue una etapa exploratoria mediante un diagnóstico participativo sobre necesidades y oportunidades en comunicación para la innovación y el desarrollo rural.
Atentos a la dinámica que han seguido los mercados internacionales de productos agrícolas, y con el interés de contribuir al debate, al análisis y a la toma de decisiones informadas para hacer frente al complejo problema de la volatilidad de precios, nos complace presentar este primer número del Boletín interinstitucional CEPAL-FAOIICA, que forma parte de la iniciativa que nuestras instituciones vienen emprendiendo desde 2009 para elaborar, cada año, una publicación sobre las perspectivas de la agricultura y el desarrollo rural en América Latina y el Caribe.
Esta Política de Estado se sustenta en cuatro ejes temáticos, que hemos convenido en llamar los pilares de la política: a) competitividad; b) innovación y desarrollo tecnológico; c) gestión de los territorios rurales y agricultura familiar; y d) cambio climático y gestión agroambiental. Se adiciona un eje transversal, que indica los principales alineamientos institucionales que se implementarán para hacerla realidad.
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?