Hacia el fin de la primera década del siglo xxi se han producido en el mundo alimentos más que suficientes para alimentar a una población mundial de cerca de siete mil millones de habitantes. Sin embargo, en los países en desarrollo alrededor de una de cada seis personas todavía padece hambre crónica, lo cual plantea una situación tan terrible, que de ninguna manera puede aceptarse.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
À Madagascar, au-delà de l'abandon fortement médiatisé du gigantesque projet agricole de l'entreprise Daewoo, les appropriations foncières à grande échelle se poursuivent. Mais, à la différence d'autres pays du Sud, une réforme foncière est en cours, fondée à la fois sur la remise en cause de la propriété de l'État sur une large part du territoire et la reconnaissance légale des droits fonciers locaux. Basé sur la théorie de l'accès, cet article analyse les modes d'accès à la terre des investisseurs et leurs régulations.
Le delta intérieur du Niger est une des régions de l’Afrique de l’Ouest les plus touchées par les attributions foncières à grande échelle : entre 400 000 et 770 000 hectares auraient ainsi été alloués sous la forme de concessions pouvant, dans certains cas, atteindre 100 000 hectares. Cet accaparement des terres a progressé à une vitesse record et renvoie à quantité de projets, disparates par le type des investisseurs impliqués et par les objectifs poursuivis.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
En este artículo se hace una reflexión sobre los problemas que enfrenta la planificación del desarrollo local y sobre las críticas hacia la localización espacial de las actividades socioeconómicas, lo cual es extensivo al estudio de los sistemas agroalimentarios localizados (SIAL). Más adelante, se centra la discusión en la aportación latinoamericana al enfoque SIAL, con base en una perspectiva ética que aborda la visión humanista sobre la seguridad alimentaria desde el contexto de la relación global-local.
La presente publicación sistematiza el conocimiento acumulado de Soluciones
Prácticas sobre el tema de la formación de campesinos y los servicios de extensión rural, a fin
de contribuir al diseño de políticas públicas más inclusivas, que permitan atender las demandas
de asistencia técnica del sector campesino altoandino, acercando la educación comunitaria (no
formal, impartida desde las organizaciones de la sociedad civil) al reconocimiento del sector educativo
competente.
La agricultura familiar engloba un conjunto diversificado de situaciones de trabajo y de vida que exceden la producción de subsistencia y demandan políticas públicas integrales de desarrollo. En la última década ha comenzado a instalarse en la agenda pública, y también en la de gobierno, la necesidad de avanzar hacia un modelo de desarrollo rural que sea socialmente inclusivo y, por ende, política, económica y ambientalmente sustentable. Tal modelo debe partir del reconocimiento de los agricultores familiares como sujetos viables de desarrollo económico.