Selon Olivier De Schutter, l’agroécologie peut doubler la production alimentaire en 10 ans, tout en réduisant la pauvreté rurale et en apportant des solutions au changement climatique. Au Burkina Faso, des initiatives et projets agroécologiques voient le jour. Ce reportage de 17 minutes part à la rencontre de ces praticiens de l’agroécologie.
PAEPARD appuie et assiste trois consortiums de recherche liés à l’aflatoxine dans leur travail destiné à : (a) éradiquer les déchets de l’aflatoxine avant et après les récoltes dans la filière arachide au Malawi et en Zambie ; (b) développer des stratégies visant à réduire la contamination par des toxines fongiques pour améliorer l’approvisionnement alimentaire, la nutrition et les revenus le long de la filière maïs dans les zones arides et semi-arides de l’est du Kenya ; et (c) développer des protocoles de gestion des aliments du bétail pour les producteurs laitiers dans les zones à forte
Depuis de nombreuses années, des femmes créent leurs propres entreprises de transformation agro-alimentaire en valorisant des produits agricoles locaux et en mettant sur le marché des aliments originaux et accessibles aux populations urbaines. L’objectif du projet CDAIS est d’appuyer leur développement en renforçant leurs capacités à expérimenter et apprendre ensemble, ainsi qu’à négocier et contractualiser avec leurs fournisseurs et distributeurs.
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
« Le riz, c’est la vie ».
Telle était la devise choisie, en 2004, par l’Organisation mondiale pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) afin de célébrer l’année internationale du riz. Nul qualificatif ne peut en effet mieux décrire le rôle stratégique joué par ce petit grain. Qu’il soit blanc, jaune, rouge, violet, gluant, consommé en grains, en pâte, en soupe, ou en dessert, le riz constitue un enjeu de taille pour la sécurité et la souveraineté alimentaires des pays en développement.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
“Grâce à mon travail de productrice de légumes biologiques, je peux participer aux dépenses liées à l’éducation des enfants et aussi nourrir ma famille de produits sains. Je n’achète plus aucuns légumes au marché” dit Clarisse Ilboudo, productrice au sein du groupement de femmes de Koubri, province du Kadiogo, Burkina Faso.
Selon l'association ENJEAL NYS AGRO, généralement au Cameroun les chefs de poste Agricole n'innovent pas dans leurs services, ils s'attendent tout du gouvernement pour mener un projet ou une activité quelconque. Ceci est un rapport qui présente l'impact d'un séminaire initié par un chef de Poste Agricole (Y. S. Ngaleu).
Ce document de directives pratiques a été préparé dans le cadre du projet Développement des capacités pour les systèmes d'innovation agricole (CDAIS), un partenariat mondial (Agrinatura, FAO et huit pays pilotes) qui vise à renforcer la capacité des pays et des principales parties prenantes à innover dans des systèmes agricoles complexes, ce qui permet l'amélioration des moyens de subsistance en milieu rural. Le CDAIS utilise une approche de cycle d'apprentissage continu pour soutenir les systèmes nationaux d'innovation agricole dans huit pays d'Afrique, d'Asie et d'Amérique centrale.
Ce manuel du formateur sur l’évaluation des besoins en capacités a été produit dans le cadre du projet de développement des capacités pour les systèmes d’innovation agricole (CDAIS). Cela implique un partenariat mondial (Agrinatura, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture [FAO] et des partenaires nationaux de huit pays pilotes) qui vise à renforcer la capacité des pays et des principales parties prenantes à innover dans des systèmes agricoles complexes, permettant ainsi d'améliorer les zones rurales. moyens de subsistance.