Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?
"CDAIS is interesting for us because it is improving how we operate”, explains Francisco Venda, president of the Sementes do Planalto seed cooperative based in Bailundo. “We work with many partners, and the new skills have proved invaluable.” Since 2016, CDAIS has been working with this group, helping them to identify and agree their priority needs, and take steps to overcoming them. But much is yet to be done, though the high levels of energy and enthusiasm will ensure that progress will continue long after the project has ended.
Chickpea is an important crop in Ethiopia, but yields and grain quality remain poor. To help unlock the full potential, CDAIS has supported the value chain around the northern city of Gondar since 2016, in partnership with the N2Africa project. As a result of new platforms, experience sharing and developing a combination of new organisational skills and behavioural change, research and extension support services stopped telling and started listening, and joined forces in innovating together with farmers.
To ensure food security, farmers must have access to quality seed, in adequate quantities. The government of Ethiopia acknowledges this, and has responded by investing in improving the seed sector. However, as this example shows, not all challenges can be overcome by technical training and new technologies alone. A large seed cooperative union was faced with a problem that seriously affected their very existence. And the solution was not technical.
On ne peut pas s’intéresser au monde rural sans parler des organisations paysannes (OP). Acteurs clés du développement rural, les OP sont des maillons importants entre le paysan et SOS Faim. Dans ce numéro, nous nous intéressons aux OP africaines car en Amérique latine, les regroupements de producteurs se manifestent davantage sous la forme de coopératives.
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
« Le riz, c’est la vie ».
Telle était la devise choisie, en 2004, par l’Organisation mondiale pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) afin de célébrer l’année internationale du riz. Nul qualificatif ne peut en effet mieux décrire le rôle stratégique joué par ce petit grain. Qu’il soit blanc, jaune, rouge, violet, gluant, consommé en grains, en pâte, en soupe, ou en dessert, le riz constitue un enjeu de taille pour la sécurité et la souveraineté alimentaires des pays en développement.
L’agriculture paysanne, valorisée dans le rapport remis par les experts de l’IAASTD, participe au développement durable. Forte utilisatrice de main d’œuvre, caractérisée par une utilisation raisonnée des intrants sur des cultures extensives, elle participe également au maintien du tissu social rural. L’agriculture paysanne est en général familiale. Les membres de la famille sont soucieux de préserver l’exploitation pour les générations futures.
Las prácticas de extensión rural constituyen uno de los elementos medulares de distintos programas y proyectos de desarrollo rural orientados a pequeños productores agropecuarios. Pese a la importancia de estas iniciativas y a la clara influencia de la dimensión psicosocial en su decurso, llama la atención que la psicología haya realizado escasas contribuciones a esta área temática.
Esta publicación producida por FONTAGRO, con el apoyo del Fondo para el Medio Ambiente Mundial y nuestros patrocinadores, reúne un conjunto de conocimientos y experiencias a partir de once casos exitosos que muestran cómo los agricultores, trabajando de forma participativa, han adoptado tecnologías que mejoraron de forma concreta la calidad de vida de sus familias y de la región.