Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
Selon Olivier De Schutter, l’agroécologie peut doubler la production alimentaire en 10 ans, tout en réduisant la pauvreté rurale et en apportant des solutions au changement climatique. Au Burkina Faso, des initiatives et projets agroécologiques voient le jour. Ce reportage de 17 minutes part à la rencontre de ces praticiens de l’agroécologie.
Des changements dans les agendas des politiques publiques des Comités Nationaux de l’Agriculture Familiale des Philippines, du Honduras, du Burkina Faso et du Sénégal seront soutenus techniquement et économiquement. La création d’un nouveau Comité au Tchad sera également appuyée.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Ce guide a pour but de vous initier à l’utilisation et à la rédaction de fiches techniques sur les bonnes pratiques pastorales et agropastorales. L’objectif étant de vous fournir un outil de gestion des connaissances pleinement opérationnel dans lequel les informations sur les bonnes pratiques sont continuellement documentées et diffusées en interne et en externe aux partenaires.
The United Nations predicts that we need to increase food production globally by 70 percent to feed 9.6 billion people by 2050. But at the same time, given the climate crisis, we need to significantly reduce the use of energy, water, and land needed to produce food and lower its carbon footprint. In other words, we must figure out how to produce and distribute more food using fewer resources and emissions. We must learn to do farming better with less.
The Guidance Note on Operationalization provides a brief recap of the conceptual underpinnings and principles of the TAP Common Framework as well as a more detailed guide to operationalization of the proposed dual pathways approach. It offers also a strategy for monitoring and evaluation as well as a toolbox of select tools that may be useful at the different stages of the CD for AIS cycle.
The Conceptual Background provides an in-depth analysis of the conceptual underpinnings and principles of the TAP Common Framework. It is also available in French and Spanish.
The CDAIS Communication strategy for 2015-2018 aims to contribute to CDAIS project's core objective of making agricultural innovation systems more efficient and sustainable in meeting the demands of farmers, agribusiness and consumers. For more information on CDAIS, see: https://www.fao.org/in-action/tropical-agriculture-platform/cdais-project...