Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
Descendu des hauts plateaux andins pour arriver dans nos assiettes, le quinoa est entré dans le jeu économique où l’offre, la demande et le prix forment un cadre triangulaire aux paradoxes multiples.
On ne peut pas s’intéresser au monde rural sans parler des organisations paysannes (OP). Acteurs clés du développement rural, les OP sont des maillons importants entre le paysan et SOS Faim. Dans ce numéro, nous nous intéressons aux OP africaines car en Amérique latine, les regroupements de producteurs se manifestent davantage sous la forme de coopératives.
Este documento analiza actividades valoradas por actores involucrados en PAIP e indaga sobre la relación con los niveles y tipos de inversiones del proyecto. Ordena y sintetiza los resultados de un taller y de consultas con una muestra de usuarios, actores locales y agentes del proyecto, que aportan a la reflexión más amplia de la iniciativa en curso sobre criterios y procesos de diseño de proyectos de desarrollo rural para mejorar sus impactos a partir de la interacción entre inversiones focalizadas en las personas y en los territorios
The paper uses a stochastic frontier analysis of production functions to estimate the level of technical efficiency in agriculture for a panel of 29 developing countries in Africa and Asia between 1994 and 2000. In addition, the paper examines how different components of an agricultural innovation system interact to determine the estimated technical inefficiencies.The paper has been presented at the Southern Agricultural Economics Association Annual Meeting, Birmingham, AL, February 4-7, 2012.
The problem being addressed during this session of the Second Global Conference on Agricultural Research for Development (GCARD2), which was held in Punta del Este, Uruguay, in 2012, is how we can bring together the needed diversity – of stakeholders and approaches – and understand better a number of multidimensional and complex questions such as: How can we inform stakeholders on alternative future scenarios and debate the desirability, consequences, winners and losers of diverse scenarios? How to better combine quantitative analyses with qualitative arguments?
Poverty, environment, social development, and gender are important cross-cutting themes of the World Bank and government investment programs, especially within the Sustainable Development Network (SDN). For developing sectoral strategies and programs, economic, environment and social assessments are undertaken, however, these are usually done separately, and most often gender issues are not included.
Poverty reduction is a long-standing development objective of many developing countries and their aid donors, including the World Bank. To achieve this goal, these countries and organizations have sought to improve smallholder agricultural productivity in Sub-Saharan Africa (SSA) as part of a broader rural development agenda aimed at providing a minimal basket of goods and services in rural areas to satisfy basic human needs. These goods and services include not only food, health care, and education, but also infrastructure.
Des facteurs structurels expliquent l’insécurité alimentaire en éthiopie : forte croissance démographique, faible productivité des parcelles agricoles, cultures majoritairement pluviales, réseau de communication quasi inexistant, etc. Malgré des moyens et des marges de productivité importants, les politiques agricoles n’ont pas permis de réduire les besoins en aide alimentaire de la population. Explications dans ce dossier.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?