La excelente vocación hortícola del Valle del Guarco en Costa Rica ha convertido esta región en uno de los sitios con mayor utilización de agroquímicos del país. La producción hortícola en esta zona se caracteriza por la presencia de monocultivos en las laderas de montañas, con una alta propensión a la erosión del suelo por escorrentía. Se ha determinado que las hortalizas y las frutas abastecidas por productores de esta zona presentan el riesgo latente de residuos de plaguicidas.
La Hacienda Aquiares es la finca de café más grande de Costa Rica en un solo bloque; el 80 % de su tierra está sembrada de café, mientras que el otro 20 % está destinado a la protección de bosques. La comunidad de Aquiares, que es hogar de casi 2 000 personas, se asienta en medio de la finca. La finca y la comunidad están mutuamente conectadas: la finca brinda servicios, tierra, seguridad y trabajo a los habitantes de la comunidad, a la vez que se ha beneficiado de una comunidad cuyos pobladores tienen un buen nivel educativo y compromiso por la actividad cafetalera.
En este documento se resumen casos concretos de aplicación de buenas prácticas de adaptación de los sistemas agropecuarios ante el cambio climático en algunos países de América Latina, las cuales pueden ser consideradas, adaptadas y enriquecidas para ser replicadas, bien sea en diferentes regiones de un mismo país o en otros países.
Agrícola La Danta es una finca que destina el 42 % de su superficie a la producción de piña orgánica desde 2007; el resto de la propiedad se encuentra en áreas de conservación de bosque. En esta finca el cultivo de piña orgánica se ha realizado en suelos con baja fertilidad natural, por lo que se ha precisado de un manejo integrado de la nutrición de la planta, con el fin de cumplir con los estrictos estándares del mercado de exportación. Casi la mitad del territorio de América Latina y el Caribe lo conforman suelos pobres en nutrientes.
À partir d’une expérience de valorisation d’un produit par l’origine, la viande de bœuf produite dans les prairies de la Pampa brésilienne, notre article propose d’analyser la capacité des acteurs locaux à élaborer et mettre en œuvre des dispositifs, leur permettant de répondre aux enjeux du développement durable.
Gérer un espace sensible sur un plan écologique suppose un dispositif de gestion qui repose sur un montage institutionnel, des équilibres politiques souvent subtils, et des règles de partage des responsabilités, des coûts et des ressources. La réussite de la gestion tient à la capacité à faire vivre ce dispositif, qui résulte souvent de longues négociations et traduit des équilibres parfois fragiles.
Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
Les systèmes alimentaires et agricoles actuels parviennent à fournir de grandes quantités d’aliments sur les marchés mondiaux. Cependant, les systèmes agricoles à forte intensité d’intrants externes et de ressources sont à l’origine d’une déforestation massive, de pénuries d’eau, d’une perte de biodiversité, d’un épuisement des sols et d’importantes émissions de gaz à effet de serre. En dépit des progrès significatifs accomplis récemment, la faim et l’extrême pauvreté demeurent des problèmes cruciaux au niveau mondial.