The Synthesis Document provides a synthesis of concepts and principles of the Common Framework developed under the Tropical Agriculture Platform (TAP). The objective of the TAP Common Framework is to promote better coherence and greater impact of capacity development in support of agricultural innovation in the Tropics. Developed in 2015 through a highly participatory process, it was agreed that the Framework should provide conceptual underpinnings and practical guidance.
Land and property rights, migration, and citizenship are complex issues that cut across all social, economic, and political spheres of West Africa. This paper provides an overarching scoping of the most pressing contemporary issues related to land, migration, and citizenship, including how they intersect in various contexts and locations in West Africa. The way issues are analytically framed captures structural challenges and sets them against the regional and global meta-trends of which policy makers and practitioners should be aware for conflict-sensitive planning.
This presentation was given for the SEARCA Forum-workshop on Platforms, Rural Advisory Services, and Knowledge Management: Towards Inclusive and Sustainable Agricultural and Rural Development, Los Banos, 17-19 May 2016. It introduced power asymmetries, how to empower members in innovation platforms, conflict management, negotiation and trust.
This document aims to guide a small team tasked to assess the capacity for agricultural innovation in a multi-stakeholder context. The context might be an actual or potential “innovation platform” such as the three commodity-based platforms selected for the piloting capacity assessment methods, or it might be a project or programme that is more generally focused on strengthening of innovation within a subsector of agriculture within a country, such as livestock or horticulture.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
L’évaluation participative repose sur le principe d’une participation active des principales parties prenantes (dont les groupes les moins organisés) à l’exercice d’évaluation. Cette démarche présente un certain nombre d’atouts qui peuvent se transformer en limites quasi rédhibitoires si certains préalables ne sont pas remplis. La finalité de cet article est de discuter des avantages et des inconvénients de la participation, ainsi que des conditions à réunir pour que l’évaluation participative puisse atteindre ses objectifs.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.
Dans cet article, à travers l’étude du cas de la filière forêt-bois-papier aquitaine, nous soulignons la nécessité d’intégrer une plus forte prise en compte des ressources naturelles dans les analyses en termes de systèmes d’innovation. Prenant appui sur la principale spécificité de cette filière, à savoir sa forte dépendance à la ressource ligneuse, le présent article est focalisé sur la manière dont cette dépendance configure le système.
Este libro, originalmente un documento de trabajo económico y sectorial del Banco Mundial, se inició como resultado de un taller internacional,“Desarrollo de sistemas de investigación para el apoyo a un cambiante sector agrícola”, que fue organizado por el Departamento de Agricultura y Desarrollo Rural del Banco Mundial en junio de 2004 en Washington, DC.
Este texto analiza de manera crítica las políticas de la biotecnología agrícola y el proceso social de construcción de posturas en torno a la regulación de los organismos genéticamente modificados (OGM) en Canadá y México desde la perspectiva de la gobernanza de la ciencia y tecnología, que se centra en la interacción entre política, ciencia y sociedad.