The Raya valley in Tigray, where Alamata Woreda is located, has suitable climate and rich water resources, among others, to grow various tropical fruits. Development of fruits only started a few years ago (1996) with the Raya Valley Development Project and the OoARD (Office of Agriculture and Rural Development), mostly focusing on papaya. A participatory rural appraisal (PRA) study conducted by the Woreda stakeholders identified tropical fruits as a potential marketable commodity in 2005.
This case study presents an analysis undertaken for the IFAD-funded Agropastoral Value Chains Project in the Governorate of Médenine, Tunisia. High-resolution imagery makes it possible to track the development of roads, buildings, irrigation schemes, and other types of investments. Over 140 km of road constructed or rehabilitated by the project are easily detectable on satellite imagery.
L’objectif de cet article est de décrire et de comprendre les comportements à innover des coopératives agricoles. Il mobilise le cadre théorique de l’économie de l’innovation. Exploitant une enquête postale sur la région Midi-Pyrénées, la typologie des comportements à innover obtenue après analyse statistique permet d’identifier cinq classes d’entreprises coopératives. Du fait de leur importance à l’amont des filières et des territoires, les coopératives apparaissent comme des intermédiaires incontournables pour répercuter les contraintes de l’aval auprès des exploitants agricoles.
Dans un contexte de controverse sur la capacité des modèles agricoles à répondre conjointement aux enjeux alimentaires, environnementaux et de développement en Afrique, nous analysons les conditions de viabilité d’une agriculture à caractère biologique au Cameroun. La démarche mobilise une enquête par entretiens semi-directifs auprès des acteurs engagés dans les filières de production biologique et une mise en débat des connaissances générées lors d’ateliers participatifs multi-acteurs. Elle met en interaction les connaissances scientifiques, entrepreneuriales et techniques.
Over the past 25 years, Uganda has experienced sustained economic growth, supported by a prudent macroeconomic framework and propelled by consistent policy reforms. Annual Gross Domestic Product (GDP) growth averaged 7.4 percent in the 2000s, compared with 6.5 in the 1990s. Economic growth has enabled substantial poverty reduction, with the proportion of people living in poverty more than halving from 56 percent in the 1992 to 23.3 percent in 2009. However, welfare improvements have not been shared equally; there is increasing urban rural inequality and inequality between regions.
At an average above 6.0 percent per year over the past two decades, Uganda' s growth rate was impressive by all standards. In parallel, poverty declined significantly, not only in urban areas, but also to some extent within the rural areas. This combination was possible because the key drivers of growth were labor-intensive services sectors, some of which are agriculture based. In fact, Uganda's growth process has reduced overall poverty faster than what has been observed in many other developing countries.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
El documento cuenta cómo más de 300 pequeños y medianos productores de café en Nicaragua mejoraron sus ingresos al enfocar su producción a los mercados de especialidad por medio de su participación en la Iniciativa de Negocios de Exportación de Café de Especialidad impulsada por la Asociación Pueblos en Acción Comunitaria (PAC)
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
La agenda técnica del IICA, definida en su Plan de Mediano Plazo 2015-2018, se basa en la focalización de nuevos temas, en el logro de resultados y alianzas estratégicas con otros organismos nacionales e internacionales con países miembros, así como con países cooperantes, para potenciar la capacidad de respuesta del instituto a las demandas de cooperación técnica de los países, que son cada día más complejas.