L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La nouvelle édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
“We first needed to know who we are, what we offer, and how to offer it,” says coffee farmer Denis Cortez. “We in the partnership organized ourselves, and now all get involved in working for the common good. We are more aware of the impacts of what we do, how to improve quality, and apply on our farms what we learn such as new processing methods.” He is one of thousands of producers that CDAIS and its partners are working with in western Honduras, with clear results.
“Primero necesitamos conocernos para saber quiénes somos, qué es lo que ofrecemos y cómo ofrecerlo” dice Denis Cortez productor de café. Somos más conscientes del impacto de lo que hacemos, aplicamos en nuestras fincas lo que aprendemos como nuevos métodos de procesamiento para potenciar la calidad.” Él es uno de los miles de productores con los que el CDAIS y las organizaciones colaboradoras trabajan en el Occidente de Honduras, con resultados contundentes.
“The CDAIS project brings an innovative methodology because it creates capacities in us as human beings” explains Carlos Valladares of the Intibucá Farmers Network. “This has improved our understanding of our situation, we have taken full responsibility for it, and are now better able to obtain and manage information to improve producer organizations”. Associations in the region have appreciated the spaces created by CDAIS that allow them to link with other stakeholders, find solutions to common problems, and now, to even take issues to the national policy level.
“El proyecto CDAIS brinda una metodología innovadora porque crea capacidades en nosotros como seres humanos”, explica Carlos Valladares de la Red Hortícola de Intibucá. “Esto ha ayudado a que entendamos mejor nuestra situación y nos apropiemos de ella. Ahora somos capaces de obtener y manejar información para mejorar la organización de los productores”. Las asociaciones en la región han aprovechado los espacios creados por CDAIS para articular con otros actores, encontrar soluciones a problemas en común y ahora, incluso, llevar los problemas a nivel de política pública.
Individual farmers often receive low prices for their harvest, and pineapple producers in Bangladesh are no exception. To help them, CDAIS facilitated a series of meetings and coaching. Starting with a capacity needs assessment workshop in April 2017, a coaching plan was developed to meet capacity gaps identified by the partnership of pineapple producers, complete with an action plan. The partnership also participated in a ‘marketplace’ event in Dhaka, a regional policy dialogue and two phases of capacity-building training. The result?