Les organisations de producteurs agricoles sont souvent considérées comme un moyen de permettre un meilleur accès des producteurs aux marchés agricoles. Notre étude montre que cette affirmation n’est valable que dans le cas de filières présentant des caractéristiques techniques relativement complexes, nécessitant une coordination entre producteurs et opérateurs aval pour la commercialisation. Dans le cas de filières à caractéristiques techniques plus simples, la coordination par le marché permet un accès facile des petits producteurs.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
En este artículo se aborda una doble paradoja que envuelve la gobernanza de los SIAL: por un lado, la emergencia de un consumidor que demanda productos específicos y con características propias de los territorios, involucrándose en formas de comercio justo y redes éticas de intercambio; pero por otro lado, las crecientes exigencias que se ciernen sobre el productor, para garantizar la autenticidad del producto y el cumplimiento de normas ambientales mediante mecanismos de certificación, la mayor de las veces ajenos al productor, provocan nuevas formas de desigualdad y asimetrías en la organ
La innovación es una condición fundamental para un crecimiento económico sostenido, que reduzca las disparidades sociales existentes en el país y permita un uso sustentable de sus recursos naturales.
La presente investigación tuvo como objetivo caracterizar los esquemas de innovación tecnológica y su transferencia en las agroempresas frutícolas del estado de Michoacán; para ello se mapeó una red de 137 nodos del sistema–producto guayaba de la región oriente de la entidad. Con el software Keyplayer 2, se calcularon los tres actores clave difusores y estructuradores, y con NetDraw se determinaron los actores conformantes de la red primaria, ello hizo un total de 33 nodos entrevistados. De éstos, se seleccionaron tres actores para efectuar el estudio de caso.
El objetivo de esta investigación fue identificar la oferta y demanda tecnológica para plantear alternativas en la innovación de la cadena agroalimentaria de maíz en el estado de Hidalgo, México. Se realizaron las siguientes etapas: 1) caracterización de la cadena; 2) identificación de los factores críticos; 3) distinción de demandas tecnológicas de conocimiento y política; 4) reconocimiento de la oferta tecnológica y 5) cuantificación de proyectos de investigación y política pública.
Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».