The Kenya agricultural carbon project is breaking new ground in designing and implementing climate finance projects in the agricultural sector. The project is regarded as an innovative example for climate-smart agriculture within and outside the World Bank. For the first time, while increasing productivity and enhancing resilience to climate change, smallholder farmers in Africa will receive payments for greenhouse gas mitigation based on sustainable agricultural land management. Quantification of carbon sequestration is monitored based on a newly developed carbon accounting methodology.
Over the past 25 years, Uganda has experienced sustained economic growth, supported by a prudent macroeconomic framework and propelled by consistent policy reforms. Annual Gross Domestic Product (GDP) growth averaged 7.4 percent in the 2000s, compared with 6.5 in the 1990s. Economic growth has enabled substantial poverty reduction, with the proportion of people living in poverty more than halving from 56 percent in the 1992 to 23.3 percent in 2009. However, welfare improvements have not been shared equally; there is increasing urban rural inequality and inequality between regions.
African farming systems are highly heterogeneous: between agroecological and socioeconomic environments, in the wide variability in farmers’ resource endowments and in farm management. This means that single solutions (or ‘silver bullets’) for improving farm productivity do not exist. Yet to date few approaches to understand constraints and explore options for change have tackled the bewildering complexity of African farming systems. In this paper we describe the Nutrient Use in Animal and Cropping systems – Efficiencies and Scales (NUANCES) framework.
Climate variability and change threaten and impact negatively on biodiversity, agricultural sustainability, ecosystems, and economic and social structures – factors that are all vital for human resilience and wellbeing. To cope with these challenges, embracing sustainability in food production is therefore essential. Practising sustainable agriculture is one way of ensuring sustainability in pro-poor farming communities in low-income countries.
The Africa Leadership Training and Capacity Building Program (Africa Lead), aims to support the capacity building program of the US Government’s Feed the Future Initiative, which aligns US Government development assistance with Africa-owned agriculture development plans that are, in turn, aligned with the African Union’s Comprehensive Africa Agriculture Development Program.
Les populations africaines font partie des plus vulnérables face au changement climatique, du fait de leurs situations géographiques et économiques. Dans certaines régions du continent, où la variabilité climatique actuelle limite déjà la production agricole, le changement climatique pourrait l’inhiber complètement en l’absence de mesures pour adapter les systèmes agraires existants aux nouveaux contextes. Les paysans, qui représentent 70 à 80 % des agriculteurs en Afrique, seront très certainement les plus vulnérables face au changement climatique.
C’est en 1954 que les paysans de la Commune rurale de l’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la culture de pomme de terre. Partie d’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait maintenant partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans pour faire face aux crises alimentaires.
Note de synthèse du rapport réalisé par la commission Agriculture et alimentation (C2A) de Coordination SUD. Il met en lumière les enjeux d’une adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques sous l’angle des politiques publiques à partir de l’étude de cas des politiques mises en place au Costa Rica, au Niger et au Vietnam.
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.