The dynamic nature of climate and its impacts on agriculture is rendering most of the existing adaptation and coping strategies unsupportive in many regions.
The concept of resilience gained traction in academic, policy, and development discourse in recent years, yet its conceptualization and application at the farm level has received little attention. For instance, recent policy recommendations present farm resilience as a silver bullet in dealing with agricultural risks and uncertainty, and in achieving sustainable agri-food systems. Yet, the question of what determines farm resilience in a smallholder farming set-up remains fuzzy.
In Sub-Saharan Africa, the rapidly evolving COVID-19, increasing population growth, and exponential expansion in demand for agricultural commodities are putting pressure on available resources, thereby posing immense challenges to the region’s capacity to achieve nutritional security related to United Nations Sustainable Development Goals (SDGs).
Du 3 au 5 au novembre 2020, s’est tenu à Kaffrine au Sénégal, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Kaffrine. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
Rising global demand for vegetable oil during the last few decades has led to a drastic increase in the land area under oil palm. Especially in South- east Asia, the oil palm boom has contributed to economic growth, but it has also spurred criticism about negative environmental and social effects. Here, we discuss palm oil production and consumption trends and review environmental, economic, and social consequences in different parts of the world. The oil palm expansion has contributed to tropical deforestation and associated losses in biodiversity and ecosystem functions.
Organic agriculture has experienced remarkable growth in recent decades as societal interest in environmental protection and healthy eating has increased. Research has shown that relative to conventional agriculture, organic farming is more e cient in its use of non-renewable energy, maintains or improves soil quality, and has less of a detrimental e ect on water quality and biodiversity. Studies have had more mixed findings, however, when examining the impact of organic farming on greenhouse gas (GHG) emissions and climate change.
L’An deux mille vingt du 15 au 16 décembre 2020 s’est tenu à Bobo Dioulasso au Centre Agricole Polyvalent de Matourkou un séminaire académique sur le thème : Rôles des services de vulgarisation agro-sylvo-pastorales dans la mise à échelle des Pratiques climatointelligentes. Ce séminaire est Co-organisé par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA), World Agroforestry (ICRAF) et le Centre Agricole Polyvalent de Matourkou (CAP). La rencontre s’est tenue dans l’amphithéâtre 540 du CAP Matourkou.
Ce manuel illustre le changement climatique et ses impacts sur l’agriculture au Sénégal.
USAID/CINSERE (Services d’information climatiques pour améliorer la résilience et la productivité au Sénégal) est un projet de 4 ans qui vise à renforcer les capacités nationales pour la production, l’accès et la diffusion efficiente d’informations météorologiques et climatiques (IMC) et à développer des stratégies pour une mise à l’échelle durable de l’utilisation des services d’information météorologiques et climatiques (SIC) sur toute l’étendue du territoire sénégalais.
Du 24 au 26 novembre 2020, s’est tenu à Ségou au Mali, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Ségou. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).