Gérer un espace sensible sur un plan écologique suppose un dispositif de gestion qui repose sur un montage institutionnel, des équilibres politiques souvent subtils, et des règles de partage des responsabilités, des coûts et des ressources. La réussite de la gestion tient à la capacité à faire vivre ce dispositif, qui résulte souvent de longues négociations et traduit des équilibres parfois fragiles.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
Des facteurs structurels expliquent l’insécurité alimentaire en éthiopie : forte croissance démographique, faible productivité des parcelles agricoles, cultures majoritairement pluviales, réseau de communication quasi inexistant, etc. Malgré des moyens et des marges de productivité importants, les politiques agricoles n’ont pas permis de réduire les besoins en aide alimentaire de la population. Explications dans ce dossier.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
El trabajo de investigación se realizó en la subcuenca “La Suiza” ubicada en los Municipios de Montecristo de Guerrero y Mapastepec correspondiente al Estado de Chiapas, México, el fin fue definir lineamientos para manejo y conservación de los servicios ecosistémicos.
At the request of the USAID Malawi Mission, the MEAS project (Modernizing Extension and Advisory Services – a USAID funded project) conducted a rapid scoping mission to examine the pluralistic extension system in Malawi and to develop recommendations for strengthening extension and advisory services in the country.
Participatory approaches have been discussed as alternatives to and complementary elements of more conventional research on sustainable land use and rural development in upland areas of Southeast Asia. Following a brief overview of the history of participatory approaches (Sect. 9.1), this chapter discusses the potential and limitations of applying Participatory Rural Appraisal (PRA) tools to field research practice in Vietnam (Sect. 9.2) and of involving stakeholders in priority setting, modeling and environmental valuation in the Southeast Asian uplands (Sect. 9.3).
Successful cases of innovation invariably demonstrate a range of partnerships, alliances and network-like arrangements that connect together knowledge users, knowledge producers and others involved in enabling innovation in the market, policy and civil society arenas. With this comes the realisation that public agricultural research needs to strengthen links to a wider set of players from the private and civil society sectors and, of course, farmers themselves. Public agricultural extension services have traditionally played the role of linking farmers to technology.
This article presents lessons from the rich adoption literature for the nascent research on adaptation. Individuals' adoption choices are affected by profit and risk considerations and by credit and biophysical constraints. New technologies spread gradually, reflecting heterogeneity among potential adopters, processes of learning and technological improvement, and policies and institutions. Adaptation is the response of economic agents and societies to major shocks. We distinguish between reactive and proactive adaptation.
Food systems contribute 19%–29% of global anthropogenic greenhouse gas (GHG) emissions, releasing 9,800–16,900 megatonnes of carbon dioxide equivalent (MtCO2e) in 2008. Agricultural production, including indirect emissions associated with land-cover change, contributes 80%–86% of total food system emissions, with significant regional variation. The impacts of global climate change on food systems are expected to be widespread, complex, geographically and temporally variable, and profoundly influenced by socioeconomic conditions.