This paper (Part II) presents work to develop a network diagnosis tool for stakeholders involved in agricultural supply chains in Bolivia. It is complemented by a further paper (Part I) by Boru Douthwaite and colleagues in the same issue of this journal which presents a case study of work conducted by the International Centre for Tropical Agriculture (CIAT). The prototype methods used in both Parts I and II are based on social network analysis (SNA) methodology.
The publication reviews forty years of development experience and concludes that donors and partner countries alike have tended to look at capacity development as mainly a technical process, or as a transfer of knowledge or institutions from North to South.
This report sets out the synthesis of work carried out within the framework of the Sahel and West Africa Club (SWAC) Secretariat Initiative on “The family economy and agricultural innovation: towards new partnerships”. The initiative aimed to stimulate analyses, collect field data and case studies that encourage debates between regional actors, with a view to informing the development of regional policies and actions in order to promote and strengthen producer access to agricultural innovation, where most producers are anchored in the family economy.
Agricultural water management is a vital practice in ensuring reduction, and environmental protection. After decades of successfully expanding irrigation and improving productivity, farmers and managers face an emerging crisis in the form of poorly performing irrigation schemes, slow modernization, declining investment, constrained water availability, and environmental degradation. More and better investments in agricultural water are needed.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
La seconde conférence triennale du Forum Global de la Recherche Agricole s’est tenue à Dakar, Sénégal du 22 au 24 mai 2003 (GFAR 2003). Le thème de la conférence était Recherche agricole et innovation rurale au service du développement durable. Le sujet de la conférence était de circonstance en raison de l’attention actuelle du monde sur les questions liées au développement durable et à la recherche en matière d’innovation des processus.
El tema de la Segunda Conferencia Trienal del Foro Global de Investigación Agropecuaria (GFAR) que se celebró en Dakar, Senegal, del 22 al 24 de mayo 2003 (GFAR 2003) versó sobre la Investigación Agrícola y la Innovación Rural en pro del Desarrollo Sostenible. Fue realmente un tema adecuado dado el objetivo global actual y la atención sobre los aspectos del desarrollo sostenible así como el aumento de interés por la investigación en los procesos innovadores.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.
La prise de conscience de l'importance des répercussions environnementales des activités agricoles ont généré une rupture du "statut d'exception" dont jouissaient les activités agricoles. De fait, les exploitants agricoles sont de plus en plus sollicités pour adopter des innovations environnementales, susceptibles d'atténuer les répercussions négatives et plus récemment de renforcer les fonctions positives (cf. les débats récents sur la multifonctionnalité).
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.