La présente note a pour objet de donner des éléments aux décideurs, au niveau national, pour leur permettre de procéder à des évaluations et de prendre les mesures voulues concernant la sécurité alimentaire et la nutrition face au changement climatique. Elle comprend des informations générales sur l’effet que le changement climatique et la variabilité du climat ont sur les secteurs de l’agriculture et la sécurité alimentaire et la nutrition et sur la façon dont ces secteurs et les habitudes alimentaires contribuent aux émissions de gaz à effet de serre.
This document is part of the project “Strengthening the adaptive capacity to climate change in the fisheries and aquaculture sector of Chile”, executed by the Undersecretariat of Fisheries and Aquaculture and the Ministry of the Environment, and implemented by the Food and Agriculture Organization of the United Nations, with funding from the Global Environment Facility. The work was implemented in four pilot coves: Caleta Riquelme (Tarapacá); Caleta Tongoy (Coquimbo); Caleta Coliumo (Biobío); and Caleta El Manzano-Hualaihué (Los Lagos).
Le CCAFS Afrique de l’Ouest met en œuvre un projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest ».
Participatory action research (PAR) has been around for years, and can add significant value to agriculture research for development projects. The use of PAR in climate-smart villages (CSVs) is no different. This review aimed to assess the impact that PAR approaches had on the adoption of CSA practices and technologies, with an emphasis on gender and social inclusion. Through a portfolio review, interviews with regional CSV teams, and surveys sent to local partners, this report demonstrates the benefit of PAR use in the implementation of the CSV approach.
Du 24 au 26 novembre 2020, s’est tenu à Ségou au Mali, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Ségou. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
L’utilisation des services hydrométéorologiques et climatiques (SHMCs) constitue une opportunité pour le Mali dans ses efforts visant à réduire la pauvreté, renforcer la résilience et s’adapter au changement climatique. En effet, les SHMCs permettent de protéger les populations contre les risques climatiques à court terme ou à évolution rapide (inondations et tempêtes) et à long terme ou à évolution lente (p. ex. sécheresses et changement climatique durable).
This document presents a proposed methodology for public expenditure review and analysis for climate change adaptation and mitigation in the agriculture sector (PERCC) and its application to a case study of Kenya. It starts by explaining the basic methodological concepts, classification and labelling of public expenditures that allow for calculating spending in agriculture related to climate change adaptation and mitigation.
The agriculture sectors are the most vulnerable to climate change and climate variability. Through the Integrating Agriculture in National Adaptation plans (NAP-Ag) programme, the United Nations Development Programme (UNDP) and the Food and Agriculture Organization (FAO) are supporting eleven countries in Africa, Asia and Latin America to plan for adaptation in the agriculture sectors. This video shows what three of these countries, Uganda, Thailand and Colombia, are doing to tackle climate change and integrate agriculture in their planning and budgeting processes.
Selon les évaluations de la FAO, à l’échelle de la planète, 45 pays, dont 34 en Afrique et 9 en Asie, ont besoin d’une aide alimentaire extérieure. Les conflits et les chocs météorologiques demeurent des facteurs critiques qui contribuent aux taux actuellement élevés d’insécurité alimentaire grave. Les effets de la pandémie de covid-19 ont exacerbé les vulnérabilités et accru les besoins humanitaires.
Rainfed agriculture accounts for more than half of the world’s food production but is facing increasing precipitation variability, driven by climate change. Achieving zero hunger will require improvements in rainwater management to increase productivity. About 45 percent of global rainfed cropland is still under low-input production systems. These are concentrated mostly in lower-income countries, which face multiple challenges in addressing the growing water shortages. Improved water management practices must be combined with the best agronomic practices for enhanced effectiveness.