Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?
TAP and its partners carried out regional surveys in Asia, Africa and Central America to assess priorities, capacities and needs in national agricultural innovation systems. This document provides a Regional synthesis report on capacity needs assessment for agricultural innovation in Africa. FARA was selected as Recipient Organization by FAO to facilitate TAP implementation in Africa. This is mainly due to its position as the umbrella organization bringing together and forming coalitions of major regional stakeholders in agricultural research and development.
This book is the re-titled third edition of the widely used Agricultural Extension (van den Ban & Hawkins, 1988, 1996). Building on the previous editions,Communication for Rural Innovation maintains and adapts the insights and conceptual models of value today, while reflecting many new ideas, angles and modes of thinking concerning how agricultural extension is taught and carried through today.
In order to realize the potential of agricultural innovation in family farming, national priorities of sustainably increasing food production and productivity, and reducing hunger and poverty, require rural knowledge institutions to be stronger and communication processes to be improved. This brief synthesizes the focus of FAO’s research and extension branch on transforming agricultural innovation systems of member countries.
In this paper, the authors review the conditions that have been undermining sustainable food and nutrition security in the Caribbean, focusing on issues of history, economy, and innovation. Building on this discussion, we then argue for a different approach to agricultural development in the Small Island Developing States of the CARICOM that draws primarily on socioecological resilience and agricultural innovation systems frameworks.
Del 1 al 4 de noviembre del 2016, expertos de varios países del hemisferio analizaron el papel de las mujeres rurales en el desarrollo y la sostenibilidad de la agricultura familiar, las políticas públicas diferenciadas para la agricultura familiar, el desarrollo rural en Centroamérica y la situación de la juventud rural en la región.
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
Ce guide technique sur le «consentement préalable, donné librement et en connaissance de cause» (CPLCC) établit des mesures concrètes permettant aux organisations gouvernementales de respecter et de protéger le CPLCC et aux organisations de la société civile, aux utilisateurs des terres et aux investisseurs privés dans le monde de s’acquitter de leurs responsabilités envers le CPLCC, conformément à ces Directives.
Le principal message qui est ressorti de la consultation est que l'agriculture familiale apportait une contribution cruciale aux secteurs agricole et halieutique et à la sécurité alimentaire de la région et, qu'à ce titre, les mesures de soutien de cette activité devaient faire partie intégrante de toutes les stratégies de développement de l'agriculture et de sécurité alimentaire.
Most agencies supporting agricultural research in sub-Saharan Africa (SSA) provide funds for discrete projects over specific periods of time, usually a maximum of three years. Research topics identified for calls for proposals are not always well aligned with users’ needs. In particular, research topics may not reflect the priorities of organizations - such as farmer organizations and private agribusinesses, with interests in the research outcomes; they are not generally supported to play a significant role as project partners.