Natural resource management practices, such as the System of Rice Intensification (SRI), have been proposed to tackle agricultural challenges such as decreasing productivity growth and environmental degradation. Yet, the benefits of system technologies for farmers are often debated. Impacts seem to be context-specific, which is especially relevant in the small farm sector with its large degree of agroecological and socioeconomic heterogeneity. This was not always considered in previous research.
Improved water management offers a range of benefits to people living in the dryland tropics, where water is scarce. Watershed programmes based on active participation of the rural population bear the potential to ensure food security, contribute to economic growth and help conserve natural resources. An ICRISAT programme in India provides an example of a science-led, knowledge-based approach in this field.
Food systems contribute 19%–29% of global anthropogenic greenhouse gas (GHG) emissions, releasing 9,800–16,900 megatonnes of carbon dioxide equivalent (MtCO2e) in 2008. Agricultural production, including indirect emissions associated with land-cover change, contributes 80%–86% of total food system emissions, with significant regional variation. The impacts of global climate change on food systems are expected to be widespread, complex, geographically and temporally variable, and profoundly influenced by socioeconomic conditions.
This paper attempts to identify the major factors associated with some of the failures and successes of integrated watershed management policies and projects with a particular emphasis on the uplands of mainland Southeast Asia. It argues that many policy measures have been misguided by failing to acknowledge the multi- dimensional facets of sustainable watershed management and putting too much emphasis on command-and-control approaches to resource management and one- size-fits-all conservation models.
This is a discussion of the processes that led Unilever to develop and implement a corporate sustainability strategy working with multiple stakeholders.
In order to realize the potential of agricultural innovation in family farming, national priorities of sustainably increasing food production and productivity, and reducing hunger and poverty, require rural knowledge institutions to be stronger and communication processes to be improved. This brief synthesizes the focus of FAO’s research and extension branch on transforming agricultural innovation systems of member countries.
Ce rapport final dresse le bilan des activités scientifiques engagées dans le cadre du projet Adap’Terr « L’adaptation au changement climatique : les défis d’une approche intégrée pour les territoires ? ». Ce volume de synthèse, présentant les principaux résultats, s’organise en trois parties. Une première partie précise certaines questions que posent pour l’aménagement et l’urbanisme l’action climatique locale, afin de développer un cadre conceptuel en mesure d’analyser les initiatives locales face au « problème climat ».
Le Programme 2012-2013 de l’Initiative 3N vise à :
- Accroître et diversifier les productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques pour assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations nigériennes;
- Augmenter les revenus des producteurs et des acteurs des filières agricoles par l’amélioration de la conservation, la transformation et la commercialisation des produits agro-alimentaires ;
- Améliorer les capacités nationales de prévention et de gestion des crises et catastrophes et la résilience des populations vulnérables.
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. Dans le passé, les formations sur les opérations après-récolte n’ont pas été normalisées entre les différents pays membres du programme P4P.
Cette étude a été menée dans le cadre du projet PAEPARD ou Plateforme pour un partenariat Afrique-Europe dans le domaine de la recherche agricole pour le développement, projet financé à 80% par la Commission européenne avec pour objectif de consolider la collaboration entre l’Afrique et l’Europe dans le domaine de la Recherche Agricole pour le Développement.