This report refers to the workshop which was held on October 21-25, 2013 at ILRI Campus in Nairobi, Kenya. The workshop involved a variety of sessions which made use of presentations, card exercises, group work and discussions to facilitate the engagement of the participants in sharing, learning, discussing and planning around CapDev in CGIAR. This report provides an overview of the workshop sessions, focusing mainly on the key discussion topics, results and next steps.
The main goal of the study is to quantify the effects of a) change in nitrogen fertilization rate, b) adjustment of sowing date, c) implementation of new cultivars, and d) supplementary irrigation on maize cropping systems across six African countries including Ghana, Nigeria, Kenya, Malawi, Ethiopia and Burkina Faso. For this purpose, 30 years (1980-2010) of climate data are used as well as soil and management information obtained from global datasets at 0.5° x 0.5° spatial resolution.
This document summarizes the insights of YPARD young professionals and their opinions on AIS. In particular, the document refers to the YPARD e-discussion, which was held in September 2012 and raised the concern of the impact of the global economic recession and climate change on agriculture. This could lead to declining agricultural productivity, and low production further impacts the declining interest of youth in Agricultural activities.
Providing economic opportunities for youth in agriculture is essential to securing the future of agriculture in Africa, addressing poverty, unemployment, and inequality. However, barriers limit youth participation in agriculture and the broader food system. This scoping review aimed to investigate the opportunities and challenges for youth in participating in agriculture and the food system in Africa. This review conducted a scoping review using the PRISMA guideline. Published studies were retrieved from online databases (Web of Science, Cab Direct, and Science Direct) for 2009 to 2019.
La agricultura familiar de los países del Sur constituye uno de los sectores más directamente afectados y amenazados por los cambios climáticos. La cuestión de la adaptación, y en particular, la de la adaptación de la agricultura, ha ido ganando terreno en el transcurso de la última década en las agendas políticas nacionales e internacionales.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
Confrontés aux évolutions des enjeux et modèles de développement touchant les secteurs de l’agriculture et de l’alimentation, les organismes de recherche interrogent les méthodes d’évaluation des impacts liées aux activités de recherche. En effet les cadres méthodologiques conventionnels utilisés depuis les années 1950 ne répondent plus aux attentes sociétales et aux réalités de l’activité de recherche dans ce domaine.
Networks and partnerships are commonly-used tools to foster knowledge sharing between actors and organisations in the Agricultural Knowledge and Innovation System (AKIS), but in Europe the policy emphasis on including users, such as farmers and foresters, is relatively recent. This paper assesses user involvement in a diverse set of European Union (EU)-funded and non-EU (formal and informal) multi-actor partnerships. This research used a common methodology to review several forms of multi-actor partnerships involving users and other actors.