Ce manuel illustre le changement climatique et ses impacts sur l’agriculture au Sénégal.
USAID/CINSERE (Services d’information climatiques pour améliorer la résilience et la productivité au Sénégal) est un projet de 4 ans qui vise à renforcer les capacités nationales pour la production, l’accès et la diffusion efficiente d’informations météorologiques et climatiques (IMC) et à développer des stratégies pour une mise à l’échelle durable de l’utilisation des services d’information météorologiques et climatiques (SIC) sur toute l’étendue du territoire sénégalais.
Du 24 au 26 novembre 2020, s’est tenu à Ségou au Mali, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Ségou. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
L’utilisation des services hydrométéorologiques et climatiques (SHMCs) constitue une opportunité pour le Mali dans ses efforts visant à réduire la pauvreté, renforcer la résilience et s’adapter au changement climatique. En effet, les SHMCs permettent de protéger les populations contre les risques climatiques à court terme ou à évolution rapide (inondations et tempêtes) et à long terme ou à évolution lente (p. ex. sécheresses et changement climatique durable).
Postharvest loss exacerbates the food insecurity and welfare loss of farming households in developing countries. This paper analyses the effect of improved storage, a climate-smart crop management technology, on household food and nutrition security, market participation and welfare using nationally representative data from Ethiopia. Endogenous switching regression models are employed to control for selection bias and unobserved heterogeneity.
This paper assesses the relationships between women’s dietary diversity and various indicators of agricultural biodiversity in farms of the Hauts-Bassins, a cotton-growing region in rural western Burkina Faso. A sample of 579 farms representative of the region was surveyed at three different periods of the year. Using a qualitative 24-h dietary recall, we computed a women’s dietary diversity score (WDDS-10) based on ten food groups.
More than 250 million Africans rely on the starchy root crop cassava (Manihot esculenta) as their staple source of calories. A typical cassava-based diet, however, provides less than 30% of the minimum daily requirement for protein and only 10%–20% of that for iron, zinc, and vitamin A. The BioCassava Plus (BC+) program has employed modern biotechnologies intended to improve the health of Africans through the development and delivery of genetically engineered cassava with increased nutrient (zinc, iron, protein, and vitamin A) levels.
This study identified gender-based constraints affecting the production, processing and marketing of biofortified cassava in two states in Nigeria, using a mixed methods approach. The study identified major differences between the two study sites (Benue and Oyo). The scale of production of biofortified cassava is higher in Oyo state among adult men because of their active involvement and collaboration with research institutes within the state and the ease of transporting products to Lagos State for designated diverse markets.
L’économie tunisienne a subi de plein fouet les effets de la crise sanitaire Covid-19 et des mesures indispensables pour la juguler prises par les pouvoirs publics comme la fermeture des frontières et le confinement de la population. L’agriculture a dû faire face aux mêmes difficultés ; toutefois, la courte durée du confinement total et la décision des autorités d’exclure les activités agricoles de certaines restrictions ont réduit les effets de la crise sanitaire sur la disponibilité des produits alimentaires.
Dans un contexte de rareté de l'eau, les pays de l’Afrique du Nord Ouest (NWA) consomment 70% de leurs ressources en eau renouvelables. La surexploitation des eaux souterraines, estimée à près de 50%, est devenue un défi majeur pour la conception et la mise en oeuvre de politiques durables d'allocation et de gestion de l'eau dans la région. Cette situation menace l'avenir de l'irrigation, où la contribution des eaux souterraines est déterminante : 100 % en Libye, 68 % en Tunisie, 54 % en Algérie.