Genetic improvement on local breeds kept by small farmers in developing countries is challenging. Even though good pedigree and performance recording is crucial and an important component of breeding programs, it remain difficult or next to impossible under conditions of subsistence livestock farming. This means that standard genetic evaluations, as well as selection and planning of mating based on estimates of the animals' genotypes, cannot be done at any level in the population of the target breed or genetic group.
Breeding programs for local breeds kept by small farmers in developing countries are a major challenge. Animal recording of pedigree and performance under conditions of subsistence livestock farming is remain difficult or next to impossible. This means that standard genetic evaluations, as well as selection and planning of mating based on estimates of the animals' genotypes, cannot be done at any level in the population of the target breed or genetic group.
The Nile Story is one of immense challenges and remarkable achievements for the economic development of the region. It begins in 1999, when the ministers in charge of water affairs in the Nile countries agreed to form the Nile Basin Initiative (NBI). Between 2003 and 2015, the Nile Basin Trust Fund (NBTF) supported and coordinated cooperative work in the region, which has been delivered mainly through the NBI.
In this paper, the authors describe the adaptation and validation of a project-level WEAI (or pro-WEAI) that agricultural development projects can use to identify key areas of women’s (and men’s) disempowerment, design appropriate strategies to address identified deficiencies, and monitor project outcomes related to women’s empowerment. The 12 pro-WEAI indicators are mapped to three domains: intrinsic agency (power within), instrumental agency (power to), and collective agency (power with). A gender parity index compares the empowerment scores of men and women in the same household.
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.