The ‘Mapping Report’ is the synthesis of the statistical information and the survey results available to describe agrifood research in European countries. The main source of information was the results of a bibliometric analysis (in the EU-33 countries), a web-assisted survey (in the EU-12+2 countries) and the country reports (for the EU-15 countries) prepared in the AgriMapping project frame in 2006 and 2007. When relevant, available complementary statistics were also used.
This presentation was prepared for the meeting of the Executive Committee of FORAGRO which was held in Montpellier, France, on march 2010. The main points discussed here are the following:
- Latin America and the Caribbean (LAC) context from the perspective of agricultural Research, Development & Innovation (RD&I)
- FORAGRO – Stakeholders and Lines of Action
- Processes of identification of priorities in LAC
- Regional Consultation Process for the Global Conference on Agricultural Research for Development (GCARD)
- Priority topics for LAC Region
L’objectif de cet article est de décrire et de comprendre les comportements à innover des coopératives agricoles. Il mobilise le cadre théorique de l’économie de l’innovation. Exploitant une enquête postale sur la région Midi-Pyrénées, la typologie des comportements à innover obtenue après analyse statistique permet d’identifier cinq classes d’entreprises coopératives. Du fait de leur importance à l’amont des filières et des territoires, les coopératives apparaissent comme des intermédiaires incontournables pour répercuter les contraintes de l’aval auprès des exploitants agricoles.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
On l’ignore souvent, mais l’agriculture familiale produit l’essentiel de l’alimentation consommée en Afrique de l’Ouest. Or son rôle n’est pas reconnu ni son potentiel soutenu par les politiques publiques.Les chapitres thématiques de cette publication explorent cinq champs d’innovation : « Améliorer la production », « Créer de la valeur par la transformation », « S’organiser pour agir et peser », « Maîtriser les marchés » et « Accéder au financement ».
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Une étude de terrain portant sur les effets de l’application du second pilier de la PAC en France révèle un lien étroit entre de nouvelles formes juridiques d’exploitation et l’évolution du statut des femmes dans la profession agricole. En effet, après n’avoir longtemps été que des « épouses d’agriculteurs », celles-ci sont devenues « agricultrices » à part entière. L’analyse des entretiens réalisés dans six territoires ruraux représentatifs des enjeux nationaux montre que le développement de ces exploitations sociétaires (GAEC, EARL, CUMA) donne davantage de visibilité au travail féminin.
Pour répondre à la montée en puissance des enjeux environnementaux, le monde agricole met en œuvre des dispositifs agri-environnementaux (AE) à destination des agriculteurs afin d’en orienter les pratiques.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.