Market access has been identified as one of the foremost factors influencing the performance of small-scale producers in developing countries, and in particular least-developed countries. Smallholder access to markets for higher-value or differentiated agricultural and food products (hereafter HVAF) is recognized as a vital opportunity to enhance and diversify the livelihoods of lower-income farm households and reduce rural poverty more generally (World Bank 2007a).
In order for agricultural development to fulfill its potential role as a source of growth and reducer of poverty, it must be constantly renewed through knowledge and innovation. Getting resources into the hands of innovators and providing incentives for producers, agricultural service providers, and entrepreneurs to collaborate in developing and applying new methods and technologies is a priority among institutions concerned with agricultural knowledge.
Both women and indigenous peoples face key barriers that limit their capacity to access and benefit from development projects. In a country like Peru where women and indigenous peoples represent a large share of the rural poor, integrating proactive measures into project design is crucial to reach these populations. The Peru Agricultural Research and Extension Program (INCAGRO) gave great emphasis to designing financing instruments that will give equitable opportunities to indigenous peoples and women's organizations.
Research, extension, and advisory services are some of the most knowledge-intensive elements of agricultural innovation systems. They are also among the heaviest users of information communication technologies (ICTs). This module introduces ICT developments in the wider innovation and knowledge systems as well as explores drivers of ICT use in research and extension.
This innovation story narrates the experience of Improving Productivity and Market Success (IPMS) project on innovative banana value chain development in Metema district, Amhara, Ethiopia. The project introduced banana production systems in the district for the first time in 2005. IPMS together with the stakeholders provided support along the banana value chain on production, in put supply and marketing.
This document aims to guide a small team tasked to assess the capacity for agricultural innovation in a multi-stakeholder context. The context might be an actual or potential “innovation platform” such as the three commodity-based platforms selected for the piloting capacity assessment methods, or it might be a project or programme that is more generally focused on strengthening of innovation within a subsector of agriculture within a country, such as livestock or horticulture.
Dans cet article, à travers l’étude du cas de la filière forêt-bois-papier aquitaine, nous soulignons la nécessité d’intégrer une plus forte prise en compte des ressources naturelles dans les analyses en termes de systèmes d’innovation. Prenant appui sur la principale spécificité de cette filière, à savoir sa forte dépendance à la ressource ligneuse, le présent article est focalisé sur la manière dont cette dépendance configure le système.
En Afrique, le droit sur le sol doit d’abord permettre l’accès à celui-ci. Pour l’agriculteur familial, ce droit est généralement celui des coutumes, que des procédures innovantes permettent de sécuriser. Les investisseurs préfèrent les titres de propriété ou les attributions du sol par l’État. Le droit foncier peut aussi être mobilisé pour garantir des crédits. Mais des contraintes limitent ce droit, résultant de l’existence de ressources naturelles renouvelables (ou non) dont l’exploitation concurrence celle de l’agriculture.
Les investissements dans les agrocarburants en Afrique constituent une véritable question de développement. Ils sont pleinement concernés par le débat sur les acquisitions de terres à grande échelle et exposent les populations et les agricultures africaines à plusieurs types de risques. Dans le même temps, ils représentent une opportunité dans des pays où l’accès à l’énergie est sans doute un des principaux facteurs de blocage au développement. Certaines formes d’investissement peuvent être encouragées, à condition qu’elles profitent aux économies locales.
Inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco pour leur témoignage des techniques préhispaniques d’agriculture sur l’eau, les chinampas de Xochimilco sont le dernier grand espace non urbanisé de la ville de Mexico. Le site est le support d’une multitude de fonctions dont la promiscuité engendre inévitablement des tensions entre les acteurs. Localisées au cœur de la capitale, les chinampas subissent également les effets de la pression urbaine qui tend à concurrencer spatialement les autres activités et à accentuer les dégradations environnementales.