This is a chapter of the book Innovation Platforms for Agricultural Development edited by Iddo Dror, Jean-Joseph Cadilhon, Marc Schut, Michael Misiko and Shreya Maheshwari.
As Part of the Livestock Livelihood and Markets Project (LILI Markets), two innovation platforms were implanted in the project sites. First thought to be a mechanism to promote and enhance communication and networking across value chain actors as well as providing them with a platform for addressing common problems the platform, although new, has already surpassed its expected role; it has now become an important element of interaction and problem solving stage among the value chain actors, including the government.
Social structure, especially in the form of social networks, affects the adoption of agricultural technologies. In light of an increasing focus on new demand-driven agricultural extension approaches that leverage social networks as an opportunity, too little is known about (a) which network characteristics matter? and (b) how do specific network characteristics matter? This paper investigates the impact of social networks in relation to smallholder dairy production technology adoption in Ethiopia.
CCAFS (through the International Livestock Research Institute and the International Research Institute for Climate and Society) and the Africa Climate Policy Center sponsored a workshop on ‘Strengthening Regional Capacity for Climate Services in Africa’, held on 27th October 2015 at Victoria Falls, Zimbabwe.
This white paper is intended to summarize the key insights gleaned from prior work applying information and communication technologies (ICTs) in support of agriculture and food systems, identifying approaches and opportunities that hold promise for enhancing global food security, and to identify important knowledge gaps that remain, offering guidance for new work that investigates how to apply information and communication technologies in agriculture.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
La rencontre des chercheurs qui s’interrogent sur l’efficacité de leurs interventions pour accompagner les acteurs dans les processus de changement constitue une occasion pour s’interroger sur les méthodes de recherche à développer lors de travaux réalisés avec les acteurs : recherche participative, « recherche-action », recherche intervention... L’auteur propose de présenter la démarche de recherche-action comme nouvelle.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.